EMI André R
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DESCRIPTION DE L'EXPERIENCE :
Note sur les droits d'auteur : Veuillez lire et apprécier cette expérience, car c'est un cadeau du cœur. Cependant, veuillez ne pas copier et coller une partie de ceci, car l'expérimentateur souhaite que l'histoire entière soit comprise dans son intégralité plutôt que par petites parties qui pourraient être sorties de leur contexte.
Je vous propose le récit d'une expérience particulière qui est la conséquence d'un accident professionnel auquel j'ai survécu, il y a maintenant plus de cinq ans. Partageons ensemble les fruits aux saveurs subtiles et enivrantes de cet événement, même si les mots sont souvent impuissants pour exprimer ce que j'ai vécu.
C'était un vendredi après-midi. Depuis deux jours, avec l'aide de Marc, un collègue de travail, j'essayais d'élucider la panne d'un spectromètre (machine permettant l'analyse des particules en suspension dans un liquide). Peu après quinze heures, je me suis perché sur un haut tabouret pour atteindre le cœur de cette merveille technologique : « une torche à plasma » enfermée au centre d'une colonne métallique de base carrée et d'une hauteur de deux mètres. Pour permettre l'accès à certains mécanismes, j'ai volontairement dénudé celle-ci de ses parois de protection.
Mon torse était alors en appui sur une de ces parois, alors que mes deux mains reposaient sur le rebord supérieur de ces deux parois perpendiculaires à la précédente. Mon équilibre était instable ! Je jouais à l'apprenti sorcier, car je connaissais mal cet appareil. Je me suis placé pour vérifier l'allumage de la torche et c'est Marc qui était chargé de la mise en marche. Nous nous faisions face, mais il était par rapport à moi décalé d'environ deux mètres sur ma droite. Il gérait le pupitre de commande et était absorbé par l'écran de l'ordinateur qui affichait les paramètres que nous attendions depuis deux jours. Il me demanda si c'était « OK » pour la mise en fonctionnement ? Je répondis « OK » et il appuya sur l'interrupteur, le regard fixé sur l'écran de contrôle comme il se doit.
« Chaleur si intense qu'inconnue de mon corps !? Douleurs physiques insoutenables ! J'étais intégralement tétanisé et collé à ce monstre d'acier ! J'ai crié ma souffrance, mais aucun son ne sortait de ma bouche !? » Concrètement, à cet instant, je ne savais pas encore que ma poitrine était fermement en appui sur quatre résistances électriques parallèles entre elles dans le sens de la hauteur. La plus haute de celles-ci, située au-dessous de la base de mes épaules, véhiculait un courant électrique continu de 4000 volts sous 5 ampères, la seconde, au niveau de mon cœur, véhiculait un courant alternatif de 220 volts sous 10 ampères. En ce qui concerne les deux autres, c'étaient des courants de faible voltage à basse intensité.
« Perché sur mon tabouret, je serrais voluptueusement la mort »
« dans mes bras sans le savoir ».
J'ai compris immédiatement que je m'étais électrocuté. Désespéré, je devinais l'issue fatale de cette situation.
« Non, je ne veux pas mourir, c'est beaucoup trop tôt, il y a tant » « à quitter. Non, ce ne peut pas être l'heure, c'est absurde, com- » « plètement stupide, il y a mes enfants, ils sont encore trop petits » « je ne peux pas les abandonner, je les aime si profondément, que » « vont-ils devenir sans moi ? Pourquoi moi et maintenant !? ». Père de trois adorables garçons, Alexandre 10 ans, Christophe 7 ans et David 4 ans, je suis horrifié. Mais que faire ?
Marc ne me regardait pas, il était trop absorbé par l'analyse des paramètres, et de plus, il n'était pas alerté, car aucun son ne pouvait surgir de mes entrailles ! Je n'en pouvais plus ! Cette souffrance était insupportable. Il fallait que cette torture cesse immédiatement. J'étais à bout ! Toutes mes forces m'abandonnaient, toutes mes résistances physiques et psychologiques s'estompaient. J'étais au paroxysme de l'agonie sous l'effet de ce supplice. J'acceptais enfin de tout abandonner. J'abdiquais radicalement et sans retour pour entrer dans la mort. Les images de tous mes attachements matériels défilaient devant mes yeux : voiture, appartement, meubles, objets. Je les abandonnais à jamais ! Puis ce furent les images de tous mes attachements affectifs : mes enfants, mes parents, les femmes que j'ai aimées, mes amis. Je les laissais à jamais. Ce processus très rapide, très intense était irréversible. Et enfin, s'effaçait définitivement ma propre image, l'identification de mon identité personnelle. Entièrement dégagé de tous ces attachements, de tous ces concepts, « André » n'existait plus. Cependant, à cet instant, une porte s'ouvrit sur une « conscience » infinie, bienheureuse, éblouie par une intense luminosité, submergée d'un amour incommensurable, omniprésente et éternelle.
Je n'étais plus qu'un regard qui voyait à plus de 180° avec une acuité extraordinaire. Je flottais au-dessus de ce corps trépidant sous l'effet de l'électrocution. J'étais si heureux là où j'étais que je trouvais l'horreur de la situation tout à fait normale. Il n'y avait plus de douleurs physiques, plus de pensées conceptuelles, plus de frontière entre la vie et la mort, plus de différence entre le bien et le mal, les mots étaient inutiles, tout était « Amour » et j'étais éternel. Je demeurais un témoin complètement neutre, complètement libre et complètement heureux.
Je fus envahi par un amour d'une puissance divine qui abolissait toutes les peurs, toutes les pensées nauséabondes, toutes les notions du temps et de l'espace. « C'était plus que merveilleux ! »
Je me laissais partir vers ce jardin d'Éden où tout était plus beau ! Les couleurs étaient plus vives, les sons plus clairs. Je développais une extralucidité insoupçonnable et les sentiments authentiques étaient ressentis beaucoup plus intensément.
Comme un flash, j'entrevoyais ce que fut ma vie et je réalisais que de nombreux sentiments injustifiés m'avaient privé d'un réel bonheur. J'ai aimé avec économie, avec un sens de la discrimination trop développé. J'ai eu peur d'aimer et j'éprouvais beaucoup d'amertume en regardant cette pauvreté. Je découvris que l'amour est notre véritable nature et que la faiblesse en ce domaine a des conséquences désastreuses pour nos propres vies, c'est-à-dire pour l'humanité.
Paradoxalement, là où j'étais, toute vie avait un sens, qu'elle soit bonne ou mauvaise, heureuse ou malheureuse, longue ou courte, cela n'avait pas d'importance ! Tout était bien ! L'alchimie de l'amour permettait la vraie connaissance de toute chose dans l'univers et justifiait toutes les destinées personnelles ou collectives. Il y avait une présence lumineuse si aimante que je me sentais aimé comme jamais je ne l'avais été. Son rayonnement envahissait mon âme, sa connaissance était infinie, je savais que j'étais dans un monde où tout était possible, il n'y avait plus d'obstacles, mon esprit pouvait se déplacer dans les trois dimensions à la vitesse de l'intention et, surtout, traverser les murs, n'est-ce pas bouleversant ? !
Aussi, après m'être élevé dans cet espace divin, c'est sans hésitation (escorté de cette intuition divine et grâce à cette acuité visuelle hors norme) que je redescendis instantanément naviguer au-dessus de la cour de récréation de l'école maternelle de mon petit David. Je n'avais plus de repères spatiaux et temporels, je savais qu'il était là. Je le regardais intensément et je ressentis notre amour avec une puissance émotionnelle née d'une œuvre d'art, sensation plus qu'agréable ! Je l'éprouvais avec ravissement.
David s'amusait avec ses camarades, il rigolait allègrement. Je percevais son rire avec la justesse d'une clarté harmonique de haute fidélité. Je m'en approchais, son visage irradiait une très grande joie qui inondait mon être incorporel. C'était une véritable fusion cosmique.
De la même façon, je visitais également mes deux autres enfants : Alexandre et Christophe, en cours à l'école primaire située à un kilomètre de là. Je dois préciser, au risque d'interrompre quelques instants mon récit, que ces écoles sont à une distance de deux kilomètres du lieu de l'accident, mais finalement, cette précision est sans importance, car si elles avaient été situées à plusieurs centaines de kilomètres, je m'y serais rendu pareillement et je vous aurais assuré de ma certitude.
Mes deux derniers enfants précités étaient respectivement en cours, studieux et appliqués. Je les regardais avec le même bonheur.
Soudain, mon pur esprit s'est élevé dans un espace infini d'une lumineuse clarté et je me suis retrouvé à contempler avec ravissement un soleil irradiant un Amour incandescent, au cœur duquel je voyais avec une netteté insolite les visages de mes enfants comme jamais je ne les avais vus auparavant. Par leurs voix à eux, les enfants me demandaient de revenir dans mon corps, de retrouver la vie incarnée pour qu'ils puissent se désaltérer du rayonnement de l'amour qui désormais vivait en moi. C'était un langage purement télépathique et je ne pouvais me soustraire à la force de cette volonté malgré mon désir ardent de rester dans ce paradis.
Je retournais donc flotter à nouveau au-dessus de mon corps avec la vision d'une image regroupant leurs visages lumineux entourés d'un halo aux couleurs chatoyantes. Par une espèce de télépathie indéfinissable selon les critères que je connaissais, j'ai demandé par la pensée à Marc d'appuyer sur le bouton d'arrêt d'urgence. Il s'est exécuté immédiatement et tout s'est arrêté. Après, Marc expliquera avoir réagi instantanément, instinctivement, par un acte engendré par un fort pressentiment et, dit-il : « Je l'ai fait, car j'ai senti qu'un phénomène anormal se produisait, aussi, je devais arrêter impérativement le fonctionnement de la machine ».
Je réintégrais mon corps, ma vision s'était rétrécie. Je devais effectuer ce retour pour réaliser pleinement mon chemin avec un accomplissement et une transmission de l'amour que j'avais reçu.
Ce fut un arrachement très violent, car je refusais mon corps et je le refuserai encore longtemps. J'étais si heureux en amont de ce personnage que j'étais !
C'était aussi le sceau d'une responsabilité incontournable pour la paix de mon esprit et l'équilibre affectif de mes proches. Le choix de la naissance et de la mort ne nous appartient pas. Cette décision revient à cette « conscience dominante » ou « présence cosmique » que j'ai ressentie si forte, si intègre, si lumineuse, si aimante que j'oserais l'appeler « Dieu ». Cela n'a rien à voir avec le Dieu des livres religieux. À nouveau, je ressentis la douleur et je constatais une paralysie de mon corps. Le cœur battait faiblement. Je respirais difficilement. Je redoutais de rester paralysé. Mon corps était si chargé d'électricité que je ne pouvais effectuer le moindre mouvement. L'intérieur de mes mains était brûlé. Mes bras et mes épaules avaient subi une torsion si violente que je ressemblais à un vieil arbre décharné par l'usure du temps. Très humilié par cet état corporel, je souhaitais de toute mon énergie retourner de l'autre côté de la vie, mais c'était impossible !
L'esprit avait retrouvé sa demeure temporaire et il en était à nouveau prisonnier à mon plus grand regret. L'angoisse au ventre, j'attendis que la charge électrique se dissolve dans la terre pour amorcer un geste. Placé sous surveillance médicale, je dormis sans interruption durant deux jours et à mon réveil, j'entendis les médecins me dire : « Vous revenez de loin, vous pouvez prendre une bonne cuite, mais à présent, vous êtes tiré d'affaire. Vous avez été électrocuté par du courant de 4000 volts sous 5 ampères durant un temps estimé à 20, voire 25 secondes. Votre corps a subi une contraction musculaire équivalente à deux tonnes. C'est comme si votre corps avait soulevé ce poids durant le temps de l'électrocution. »
Même si je suis un sportif confirmé avec un cœur très résistant, ma résurrection est un miracle aux yeux du corps médical !?
Je frissonne en écrivant ces lignes. Mon corps a mémorisé l'intensité de cette expérience. Les larmes suivent ces frissons. Cet accident m'a ouvert la porte sur l'éternité. Chaque jour, je suis envahi par la nostalgie de ce paradis perdu.
Parfois, je me surprends à regretter d'être revenu à la vie incarnée. Je ne peux plus vivre comme avant. Ma vie est bouleversée par cet événement, comme si une torche magique avait illuminé les zones d'ombre qui stagnaient sur le cours de mon existence.
Je pris des décisions fondamentales et, à chaque instant, je m'exerce à les mettre en pratique. Elles n'ont qu'un seul dessein : essayer d'aimer intuitivement à partir de la vérité du cœur. Ma lucidité s'est excessivement développée. Le jeu des apparences, les relations étriquées, la médisance m'indisposent fortement. À chaque rencontre, qu'elle soit éphémère ou durable, je m'applique à développer des sentiments authentiques et désintéressés. Cette attitude engendre désormais des amitiés sincères et heureuses. Ouvrir ses bras et son cœur au sein d'une société contemporaine, dévorée par des sentiments vils tels que l'égoïsme, la jalousie, la convoitise, la possessivité, la haine, qui sont en fait la conséquence de peurs injustifiées, me place dans une position marginale. Ma bonne volonté souffre d'impuissance et je suis souvent rejeté.
Spectateur de cette humanité marécageuse, je nage mélancolique à la surface d'un océan de solitude. Disponible, je consume mon énergie dans l'intention de donner aux autres, en particulier à mes proches, la flamme du bonheur sans peur. Je confesse mes maladresses. De nombreuses tentatives sont vouées à l'échec et chaque déception succède un réel désespoir. Cette révélation est un cadeau privilégié du divin, mais très difficile à gérer dans le réel de la vie quotidienne.
Comment retrouver la paix, le bonheur, la béatitude et l'amour éprouvé de l'autre côté ? Comment revivre avec un tel souvenir ? Je sais que je dois être là et réaliser le devoir de ma destinée. Sans cette conviction révélée et me donnant une énergie motrice pour mes activités d'aujourd'hui, je demeurerais dans une profonde apathie.
Par le passé, j'ai parcouru une vie riche en événements, en sentiments, et de cela, aujourd'hui, il ne me reste que peu de saveurs. Éveillons l'esprit !
Abandonnons le corps mental et physique pour accueillir avec humilité le pur diamant du paradis...
« Je ne vous promets pas d'être heureuse en ce monde, mais dans l'autre ! » (Bernadette Soubirous)
« Je ne vous promets pas de vous rendre heureuse en ce monde, mais dans l'autre. »
Au moment de votre expérience, y avait-il une situation mettant votre vie en danger ? Indécis(e) l'accident survenu est une électrocution avec du 4000 volts lors de l'entretion d'un matériel technique (spectrometre). La seconde précédente, je n'avais nullement conscience d'un danger quelconque. Par erreur et par ignorance involontaire de ma part, ma poitrine a collé à la résistance dans laquelle circulait un courant continu de 4000 volts (cf le récit ci-dessous).
Cette expérience est-elle difficile à décrire avec des mots ? Oui parceque notre language n'est pas adapter pour décrire le merveilleux de l'expérience, avec quel mot décrire une couleur ou un son qui n'existe pas dans notre monde?
A quel moment au cours de l’expérience étiez-vous au niveau d’état de conscience et de lucidité maximum ? Plus conscient(e) et lucide que d’habitude lorsque je n'étais plus moi cela ne peut s'expliquer
Veuillez comparer votre vue pendant l’expérience à celle que vous aviez immédiatement avant l’expérience. Vue extra lucide a 360 degrés
Veuillez comparer votre ouïe pendant l’expérience à celle que vous aviez juste avant l’expérience. idem
Avez-vous vu ou entendu des évènements terrestres qui se déroulaient alors que votre conscience était séparée de votre corps physique/terrestre ? Oui cf mon récit
Quelles émotions ressentiez-vous pendant l’expérience ? cf mon récit
Avez-vous traversé un tunnel ? Non
Avez-vous vu une lumière surnaturelle ? Oui cf mon récit
Vous a-t-il semblé rencontrer un être ou une présence ésotérique, ou bien entendre une voix Non identifiée ? J’ai rencontré un être précis, ou une voix clairement d’origine ésotérique ou surnaturelle idem
Avez-vous rencontré ou décelé des êtres décédés (ou en vie) ? Oui mes enfants
Au cours de l’expérience, avez-vous eu connaissance d’évènements de votre passé ? Indécis(e) il me semble que Oui mais cela a défilé à une telle vitesse...
Vous a-t-il semblé pénétrer dans un monde différent, surnaturel ? Un monde nettement ésotérique ou surnaturel cf récit
Le temps a-t-il semblé accélérer ou ralentir ? Tout semblait se passer en même temps, ou le temps s’est arrêté, ou il n’y avait pas de notion de temps cf récit
Avez-vous soudainement semblé comprendre tout ? Au sujet de l’univers connaissance gobale et infinie
Avez-vous atteint une limite ou une structure physique de délimitation ? Oui l'être de lumière qui me renvoie pour continuer avec mes enfants.
Avez-vous vu des scènes de l’avenir ? Non
Avez-vous le sentiment d’avoir connaissance d’un savoir ou dessein particulier ? Non
Veuillez expliquer tout changement qui aurait eu lieu dans votre vie après votre expérience : Large changes in my life cf récit vous posez beaucoup trop de questions....
Après s’être produite, votre expérience a-t-elle provoqué des changements dans vos valeurs ou vos croyances ? Oui cf recit
Après votre expérience, possédiez-vous des facultés paranormales, sortant de l’ordinaire ou autres que vous n’aviez pas avant l’expérience ? Oui medium, je lis les emotions et les pensées des autres
Avez-vous raconté cette expérience à quelqu’un ? Oui quelques semaines après l'expérience a la communauté bouddhiste a la quelle j'appartenais mais ayant sucité des réactions stupides et l'incrédulité je me suis tu pendante 5 ans avant une rencontre qui m'a conduit a faitre des conférences. Aujourd'hui, je n'en parle plus.
Avant votre expérience, connaissiez-vous les expériences de mort imminente (EMI) ? Non
Peu après avoir vécu votre expérience (quelques jours ou semaines), comment considériez-vous sa réalité: l’expérience était tout à fait réelle
Comment considérez-vous actuellement la réalité de votre expérience: l’expérience était tout à fait réelle bien réelle
Vos relations ont-elles changé directement à cause de votre expérience ? Oui
Vos croyances/pratiques religieuses ont-elles changé directement à cause de votre expérience ? Oui idem
Au cours de votre vie, est-ce que quoi que ce soit, à un moment quelconque, a reproduit une partie de l’expérience ? Non
Les questions posées et les informations que vous venez de fournir décrivent-elles votre expérience complètement et avec exactitude ? Oui tou a fait exact
Devrions-nous poser d’autres questions afin de vous aider à exprimer votre expérience ? bien assez de questions à mon goût ouf c'est la fin...
Y a-t-il une ou plusieurs parties de l’expérience particulièrement significative(s) ou avec une valeur particulière pour vous ? ras
Souhaitez-vous ajouter autre chose concernant l’expérience ? Non
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