Théorie du Temps Figé
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Théorie du Temps Figé Par Jack H Hiller, PhD, JD 3 Nov. 2011 (Révisé 15 Nov. 2014, 30/4/2016, 5/2/2017)

Résumé

La théorie présentée intègre de manière unique les résultats et les principes de :

1) La Théorie de la Relativité (p.ex., le temps ne s'écoule pas pour les entités voyageant à la vitesse de la lumière),

2) La mécanique Quantique (p.ex., des particules appariées démontrent une forme mystérieuse de communication instantanée à n’importe quelle distance, appelée par Einstein, ‘action fantôme à distance’ lorsqu'il en a parodié la possibilité, et ‘l'intrication quantique’ par Erwin Schrödinger),

3) La Géométrie Analytique dans laquelle l’espace ordinaire perceptible (3D) inclus le temps comme une hypothétique 4eme dimension ‘physique’ (voir la suite dans l’article ci-dessous). Un univers multi-dimensionnel existant au-delà de la 4D pourrait expliquer pourquoi la matière et l’énergie visibles ne constituent que 5% de l’univers (basé sur les effets gravitationnels observés, p.ex., ce qu'on appelle énergie et matière noires pourraient exister dans des sphères de dimensions supérieures, au-delà de l'observation directe), avec des rapports d'observateurs sur le temps, principalement provenant de la littérature sur les Expériences de Mort Imminente (EMI) :

A) Le temps ne s’écoule pas de ‘l’autre’ côté, ainsi passé, présent, et futur peuvent être consultés ensemble (visualisez un observateur situé en hauteur au-dessus d'une route, la route étant conceptualisée comme la dimension temporelle);

B) La perception et la conscience expérimentées avant de vivre une expérience de sortie du corps (ESC) peuvent continuer sans interruption lorsque la conscience quitte un corps mourant,

C) La perception est augmentée pendant l’ESC pour permettre de voir, non pas par réflexion de la lumière, mais ‘directement’ à n’importe quelle échelle de mesure, du subatomique au galactique, et à n’importe quel endroit, appelée ‘vision mentale’, et

D) La matière de l’autre côté existe à des fréquences de loin supérieures à celles de la matière ordinaire, ce qui implique que les super cordes de l’autre côté vibrent plus vite que dans le monde matériel et pourraient fournir les bases pour l’énergie et la matière noire.

La crédibilité a été établie pour la réalité des perceptions d'ESC à partir d'un nombre important de cas dans lesquels des informations, acquises au cours de l'ESC et qui n'auraient pas pu être accessibles au corps mourant à son emplacement ou alors que l'activité cérébrale avait cessé de manière mesurable, avaient été vérifiées, par un contrôle indépendant des faits ( Holden, J.M. (2009) Veridical perception in near-death experiences, in Holden, J.M., Greyson, B., and James B. (eds.) The Handbook of Near-Death Experiences: Thirty Years of Investigation. Santa Barbara, CA: Praeger/ABC). Le Dr Greyson présente un excellent cas de conscience fonctionnant en l’absence d’un cerveau fonctionnel. ( http://dharma-documentaries.net/bruce-greyson-is-consciousness-produced-by-the-brain ).

Introduction

Il sera important de reconnaitre la distinction entre le contexte de découverte ou formation d’hypothèse et le contexte de vérification – contrairement aux spéculations au sujet d’un autre côté ou monde spirituel qui par principe ne peut être exploré de façon empirique, la théorie présentée ici permet d'effectuer des tests empiriques ; par exemple, les ondes cérébrales, qui sont plutôt lentes, peuvent être testées pour communiquer avec des ondes électromagnétiques de plus haute fréquence supposées émaner de l'autre côté en utilisant le processus superhétérodyne que nous utilisons maintenant couramment pour la réception radio et l'amplification des signaux diffusés à des fréquences plus élevées que les ondes porteuses utilisées dans les radios, un processus de mixage des signaux.

Le programme de 2011 de Discovery Channel, "Dieu créa-t-IL l’Univers ?" stimulé par les opinions de Stephen Hawking, présentait une perspective sur la nature de l’univers et sa création qui éliminait toute nécessité d’inclure le concept de Dieu, en tant que Créateur incréé traditionnel. Ma propre analyse se référant aux théories de la Relativité et Quantique arrive à des conclusions opposées.

La somme de l’énergie et de la matière dans cet univers (énergies et matière positives et négatives) pourrait être zéro, de sorte que l'univers matériel part de rien ; cependant il faut avoir un catalyseur pour déclencher la création d'états équilibrés positifs et négatifs de substance matérielle, et bien sûr, cela serait Dieu. Mais cela laisse encore une question ouverte sur comment Dieu est apparu à partir du néant. Sont décrites ici des conjectures sur la nature de la Création basées sur la théorie de la Relativité, avec ses dispositions selon lesquelles le temps est figé à la vitesse de la lumière, et la Relativité Générale avec sa disposition selon laquelle la gravité infinie gèle également le temps.

Avec le temps gelé, la situation avant le Big Bang pourrait exclure la pertinence de la question de la causalité avant la naissance de l’univers, parce que quand il n’y a pas de temps, la causalité cesse de fonctionner. En d’autres termes, à partir des théories acceptées de la Relativité, la physique démontre qu’il est possible de conceptualiser de façon pertinente un état d’existence dans lequel le temps est figé, donc l’analyse causale est futile. Cependant, alors que Hawking prend la logique de ce résultat (c’est-à-dire que la causalité devient une question dénuée de sens lorsque le temps ne fonctionne pas avant le Big Bang) pour éliminer le besoin d’inclure le Créateur incréé, la logique est biaisée. Son explication présuppose commodément une existence éternelle pour les règles de la mécanique quantique, mais cette présupposition n'est pas plus plausible que de présupposer que Dieu a créé la loi de la mécanique quantique.

Hawking s'appuie également sur l'assimilation de l'existence éphémère de particules quantiques (par exemple, les protons qui existent et disparaissent de manière aléatoire, le flux quantique non provoqué) avec le Big Bang impliquant un immense conglomérat de masse/énergie contrairement à des morceaux isolés d'éléments de niveau quantique. Bien sûr, la grande masse au cœur de la singularité ne suivrait pas précisément les mêmes règles quantiques pour le comportement de particules quantiques ‘séparées’, tout comme le comportement du monde macro de l’existence de tous les jours est radicalement différent du flux quantique éphémère ; le fait que le réductionnisme n’a pas réussi à générer une théorie du monde au niveau macro à partir de la science atomique et subatomique est bien expliqué par le physicien Robert Laughlin ( Laughlin, Robert (2005), A Different Universe: Reinventing Physics from the Bottom Down, Basic Books, ISBN 0-465-03828-X ),qui plaide pour la philosophie de l’émergence.

La Théorie du Temps Figé (TTF) propose une ligne d’analyse différente de celle de l’explication de mécanique quantique de Hawking pour la création dans le Big Bang. Contrairement à l’explication de Hawking basée sur l’existence éternelle de principes quantiques ; la TTF aborde les aspects de la théorie quantique (par exemple ce qui est connu comme l‘action fantôme à distance’ Einstein, maintenant communément nommé intrication), la Théorie de la Relativité (comme mentionnée pour l’atemporalité et l’élimination de la cause), inclus des observations de l’étude des Expérience de Mort Imminente (p.ex. le travail de Ken Ring est une source particulièrement bonne pour les personnes qui étaient aveugles de naissance, mais avaient une forme de vision dans leur EMI ( http://near-death.com/experiences/experts04.html ), de même que les résultats d’étude sur la Réincarnation ( principalement les études du Prof Ian Stevenson ( http://en.wikipedia.org/wiki/Ian_Stevenson ) et Carol Bowman ( http://en.wikipedia.org/wiki/Carol_Bowman). Un ensemble de cas de réincarnation bien documentés, complétés par des vidéos You Tube, se trouve sur le site web suivant : (http://www.victorzammit.com/evidence/childrenwhorememberpastlives.htm ), incluant un interview intéressant du Dr.Jim B. Tucker, qui a été encadré dans ce domaine par le Dr. Ian Stevenson. Le Dr. Pim Van Lommel a publié une excellente et exhaustive revue de la littérature de recherche sur les EMIs qui constitue une référence de base précieuse, ‘La Conscience au-delà de la Vie’, ( http://www.amazon.com/s/ref=nb_sb_ss_i_9_5?url=search-alias%3Dstripbooks&field-keywords=van+lommel&sprefix=van+l%2Cstripbooks%2C189 ) .

La Théorie du Temps Figé aborde l’une des grandes curiosités rapportées par des voyants et par des individus ordinaires qui ont fait une EMI – que le temps ne s’écoule pas dans le monde spirituel – en ayant pour hypothèse que notre monde matériel en 3D, avec le temps comme dimension additionnelle, fonctionne dans le monde spirituel comme une existence spatiale à quatre dimensions ou plus dans laquelle le temps existe comme quatrième dimension spatiale. Un rapport d’EMI particulier soutient directement l’hypothèse que le temps dans le monde spirituel correspond à une forme de dimensionnalité spatiale, de localisation dans un espace d’ordre supérieur. One with the Light: Authentic Near-Death Experiences that Changed lives and Revealed the Beyond par Brad Steiger (Sep 1, 1994) Chapter 22, page 145, Les Expériences de Mort Imminente extraordinaires de deux Médecins, sont racontées. La source que Steiger mentionne est une présentation de Sir Auckland Geddes, médecin, à la Société Médicale Royale d’Edinburgh, 26 Fév. 1937. Dans l’un de ces deux cas de Dr ayant fait une EMI, Geddes rapporte ce qui suit pour un docteur ayant une expérience de sortie du corps (pages 146 et 148 dans la version anglaise):

"... il prend conscience de la présence d'un guide, ou ‘mentor’, qui lui explique qu'il est ‘libre dans une dimension temporelle de l'espace où maintenant équivalait à ici dans l'espace tridimensionnel ordinaire de la vie quotidienne’. Grâce à la nouvelle compréhension que lui avait rapportée son guide, le médecin a ensuite noté qu'il était capable de voir des choses dans des endroits à quatre dimensions ou plus. En même temps, il pouvait voir aussi bien dans l'espace tridimensionnel de la vie quotidienne."

Ce récit d’EMI caractérise le temps dans le monde spirituel comme étant représenté – non pas par une horloge – mais par une localisation spatiale. Donc, le temps sur Terre peut être mis en correspondance avec une localisation spatiale dans le monde spirituel et cela peut expliquer comment des prémonitions correctes sont possibles ; les prémonitions peuvent être réconciliées avec le libre arbitre en permettant que ce qui se trouve à tout moment dans le futur puisse être modifié à mesure que les événements se déroulent.

Perspectives philosophiques sur l'Existence et la Création

La question principale de la branche ontologique de la métaphysique est la suivante : comment l'être est-il venu à l'existence et quelle est sa nature ? ( http://en.wikipedia.org/wiki/Ontology )? Conceptualiser tout procédé qui peut introduire la matière et l’énergie dans ce qui était un néant parfait fait face à la question de l’origine de cette matière et cette énergie (donc la référence à une telle matérialité dans la singularité précédant le Big Bang soulève la question de manière circulaire), et s'interroge davantage sur le processus par lequel la matérialité a été incorporée dans le vide primordial. La Théorie moderne du Big Bang évite de se demander comment le matériau au cœur de la singularité a été créé ou d'où il vient, et spécule uniquement sur la nature de la loi physique expliquant le processus d'explosion des singularités ; ou bien, la théorie de la création du Big Bang est remplacée par une théorie attribuant la création à la collision d'univers braniques préexistants, le scénario ekpyrotique. (http://en.wikipedia.org/wiki/Ekpyrotic_universe).

Ce dilemne sur la manière de conceptualiser l’origine d’un univers matériel remonte à l’ancienne philosophie Grecque, sans progrès substantiel après que la question de la création ait été formalisée. Cette brève note définissant la Théorie du Temps Figé explique comment une application illogique du concept de temps, qui constitue le concept fondamental pour comprendre et appliquer le concept de ‘causalité’ pour expliquer les origines, bloque la résolution du dilemme ontologique. La Théorie du Temps Figé applique la Théorie de la Relativité Restreinte pour expliquer l'ontologie de la création et de l'être spirituel applique la Théorie.

La Relativité restreinte inclut une Condition d'Intemporalité

* Le temps tel que nous le comprenons et le mesurons selon la relativité restreinte ralentit pour augmenter la vitesse ; plus spécifiquement, un objet se déplaçant à la vitesse de la lumière existe dans le temps figé, càd, un photon ne vieillit pas.

* Donc, quand l’existence correspond à la vitesse de la lumière avec son temps arrêté, demander ce qui a précédé ou vient après n’a pas de réponse significative pour le contexte de cette existence.

* La dimension du temps est construite par la Théorie du Temps Figé comme une 4ème dimension d’un espace 4D de type Cartésien ; en d’autres termes, des temps différents en 3-D peuvent être cartographiés en différentes localisations spatiales en 4-D. Cette analyse peut en fait être visualisée en imaginant des fragments d’espace 3-D placés à des points différents le long d’un axe dimensionnel représentant le temps, tout comme les dimensions x, y et z sont habituellement représentés en graphique Cartésien pour des localisations spatiales. Le graphique spatial 4-D résultant sera utilisé plus tard pour expliquer comment des dimensions spatiales plus élevées que la 4-D peuvent être conceptualisés.

Le Phénomène EMI avec Perception Vérifiée pendant l’ESC

Les rapports d’EMIs englobent des observations faites par la conscience, alors qu’elle est séparée du corps agonisant de l’individu, au sujet d’évènements ayant lieu dans le monde Terrestre, et au-delà. Les observations faites par les individus pendant leur ESC peuvent être utilement classifiées comme survenant pendant que la conscience se concentre sur des évènements dans le plan terrestre d’existence et, pour les EMIs relativement étendues après que la conscience soit allée au-delà, habituellement via ce que semble être un tunnel, pour se concentrer sur un monde spirituel, correspondant typiquement au concept de Paradis pour sa beauté et l’expérience de se sentir aimé, mais rarement correspondant à un environnement Infernal.

Les observations d’ESC sur des évènements se produisant sur le plan terrestre sont facilement testables comme étant exactes en vérifiant les faits connus des participants ou de spectateurs des évènements de l’EMI. Cependant, il a aussi été possible de tester des observations sélectives faites durant des visites célestes. Il y a quelques cas de rapports d’EMI parlant de parents qui n’étaient pas connus avant de les rencontrer de l’autre côté, comme des frères et sœurs, ou autres parents (voyez, par exemple, les cas dans le texte du Dr. Lommel pages 32 et 33 – version anglaise). Conclusion du résumé approfondi sur l'EMI du Dr van Lommel d'une vaste littérature de recherche sur la réalité perceptuelle de l'ESC :

[‘L’expérience de sortie-du-corps a une importance scientifique, parce que les médecins, le personnel infirmier, et les parents peuvent vérifier et corroborer les perceptions rapportées et le moment auquel elles sont supposées avoir eu lieu. [Le Dr. van Lommel cite ici du chapitre de l’ESC de Holden mentionné dans la préface : ‘Dans la revue récente de 93 rapports de potentiellement vérifiables perceptions de sortie-du-corps (ou ‘perceptions non-physiques apparemment véridiques’) pendant une EMI, on a trouvé que 43% avaient été corroborés à l'enquêteur par un informateur indépendant, 43% additionnels ont été rapportés par l’expérienceur comme ayant été corroborés par un informateur indépendant qui n’était plus disponible pour un interview avec l’enquêteur, et seuls 14% reposaient seulement sur le rapport de l’expérienceur. De ces perceptions de sortie-du-corps, 92% étaient complètement précises, 6% contenaient des erreurs, et seulement 1% étaient complètement erronées. Et même parmi les cas corroborés à l'enquêteur par un informateur indépendant, 88% étaient complètement précises, 10% contenaient des erreurs, et seulement 3% étaient complètement erronées.’]. Cette [revue] prouve qu’une ESC ne peut pas être une hallucination, qui est une perception sensorielle qui est perçue comme réelle par la personne hallucinant, mais ne correspond pas à la réalité…’ Pages 19 et 20 du texte cité (version anglaise) du Dr. van Lommel, avec les pages suivantes de son texte présentant des cas convaincants de perceptions vérifiées d’ESC, autrement impossible à cause de la position et de l'état du corps mourant. Il est raisonnable de conclure, à partir de nombreux cas vérifiés, dans lesquels les individus ont ‘perçus’ des évènements hors de toute vue possible depuis leur corps agonisant et ‘entendu’ des conversations audibles ou des pensées non verbalisées, que les perceptions d’ESC ont été faites par une conscience sortie-du-corps – et cette conclusion a été bien authentifiée par vérification de la véracité des faits. Les observations universellement cohérentes d’individus revenant d’une expérience de mort imminente (arrêt cardiaque et aucune activité cérébrale http://www.near-death.com/ ) rapportent que le temps comme expérimenté dans notre monde matériel n’existe pas dans le monde spirituel.

* Après la mort, des parents et amis, des anges, et le Christ apparaissent tous comme constitués de lumière ou brillants de lumière

* Après la mort ‘de l’autre côté’, le temps ordinaire comme ressenti ici est rapporté comme non existant.

* Passé, Présent, et Futur de façon inexplicable sont vus comme coexistant.

* La Terre et son monde matériel, l’univers dans laquelle elle existe, sont dit exister à une fréquence beaucoup plus basse que l’être dans le monde spirituel.

Perspective de la Philosophie des Sciences sur le Temps et son Rôle dans la Causalité

* La causalité est définie en fonction d'actions liées ensemble dans le temps

( http://www9.georgetown.edu/faculty/ap85/papers/CausationAndArrow.html ). Le temps au niveau macro est conceptualisé et mesuré comme une séquence continue s’écoulant ininterrompue. La théorie quantique du temps spécule que le temps prend la forme d’une existence quantique discrète (http://www.scientificamerican.com/article.cfm?id=splitting-time-from-space ). Indépendamment de la théorie préférée, le concept de temps directionnel sous-tend le concept de séries d’évènements connectés survenant au cours d’un dimension temporelle.

* Étant donné que le temps ne fonctionne pas, donc que le temps est figé, alors ‘la causalité’ perd son sens opérationnel, et chercher une causalité est dénué de sens -- la quête pour comprendre comment le monde est né n’a plus de sens.

Psychologie de la Perception et Problème Scientifique des Qualia dans la Perception

La perception consciente du monde réel se délecte des variétés de couleurs vues, des sensation de parfums comme lorsqu'on respire une rose et de la richesse de la musique entendue (une bonne revue résumée du concept de qualia est fourni par "Mind & Brain," Jeffrey Schwartz, MD, Harper Collins, NY, 2002, pages 36-41). Cependant, l’examen microscopique des neurones du cerveau et des zones du cortex impliquées dans la perception, ne permet pas d’identifier des fonctionnalités capables de ‘voir’ différentes couleurs, ou faire l’expérience des fragrances, ou différencier des sons pour apprécier des sons structurés de musique. Ce problème est depuis longtemps connu en philosophie de la perception comme problème des qualia.

( http://en.wikipedia.org/wiki/Qualia) . Le Prof Alva Noe déclare sa conclusion sur la nature de la conscience en un langage clair et franc,’ La conscience ne se passe pas dans le cerveau. C’est pourquoi nous n’avons pas été capable de trouver une bonne explication pour sa base neuronale.’ Chapitre 1. Une hypothèse étonnante ( http://www.amazon.com/dp/0809016486 ).

Erwin Schrödinger, une des pionnier de la physique quantique, propose la perspective suivante sur la perception consciente, contraire à toute explication matérialiste de la perception consciente : ‘La sensation de couleur ne peut pas être expliquée par l’image objective des ondes lumineuses du physicien. Le physiologiste pourrait-il en rendre compte s'il avait une connaissance plus complète qu’actuellement des processus dans la rétine et des processus nerveux qu'ils déclenchent dans les faisceaux du nerf optique et dans le cerveau ? je ne pense pas’. Les éminents neuroscientifiques Charles Sherrington et John Eccles, et le neurochirurgien pionnier Wilder Penfield ont tous conclu que le cerveau même ne crée ni ne propage la conscience, mais à la place il a fonction de transmetteur entre la perception sensorielle matérialiste et l'âme de l'esprit. Même avec les outils spéciaux actuels pour examiner l’activité cérébrale, tel que l’imagerie de résonance magnétique fonctionnelle (IRMf), la perception consciente reste un mystère.

(http://en.wikipedia.org/wiki/Philosophy_of_perception ).

Pour alimenter le débat, disons que nous avons essayé d’expliquer la conscience de la perception de la couleur en localisant de manière hypothétique différentes couleurs spécifiques à différents endroits ou dans des circuits neuronaux spécialement intégrés du cortex visuel – mais cela ne servirait pas pour expliquer la perception de la couleur, parce que nous devrions alors supposer un homoncule qui visualise la couleur représentant les régions, et cela nous mènerait à une réduction par l’absurde, car la perception consciente par l’homoncule aurait également besoin d’être expliquée.

Ce problème de l’explication la perception consciente a été abordé par René Descartes dans sa théorie dualiste de l’esprit (âme) et du cerveau, avec la curieuse idée que cerveau et âme communiquaient via la glande pinéale. En mettant de côté ce point de connexion de la glande, l’esprit en tant que source demeure une explication possible et est cohérent avec ceux ayant fait une EMI qui rapportent que, en quittant le corps, la perception est continue depuis l’intérieur du corps jusqu’en dehors du corps, ce qui implique que la perception consciente ordinaire dépend de l’esprit ou de l’âme ( voir Mindsight, by Ken Ring: http://www.amazon.com/Mindsight-Near-Death-Out-Body-Experiences/dp/0966963008 et une production dr la BBC TV sur l’EMI qui conclut avec des indices solide pour l’esprit, mais bien sûr, pas de preuve positive. ( http://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=uuf-xct2sHk

Il y a une possibilité que la perception consciente n’ait pas besoin d’être expliquée par référence à des processus cérébraux mécaniques, si la conscience et la perception consciente ne sont pas des fonctions culminantes des processus cérébraux, mais se trouvent plutôt dans l’âme attachée au cerveau, comme supposé par Descartes.

Théoriquement, localiser la perception dans l’âme mérite une explication sur la façon dont l’âme fonctionne avec la perception, donc, à première vue, la question du fonctionnement de la perception demeure lorsque le site passe du cerveau à l’âme. L’EMI récemment rapportée par le Dr. Eben Alexander ("Proof of Heaven" Simon and Schuster, 2012) propose l'inférence d'une solution élégante, vraiment une solution semblable à un rasoir d’Ockham, que l’âme perçoit directement l’information, à la fois perceptuelle et conceptuelle. Alexander décrit l’expérience perceptuelle de son esprit une fois dans le ‘centre’ du royaume de Dieu :

" Voie et entendre n’étaient pas séparés dans cet endroit où j’étais maintenant. Je pouvais entendre la beauté visuelle des corps argentés de ces êtres scintillants au-dessus et je pouvais voir la perfection déferlante et joyeuse de ce qu’ils chantaient. Il semblait que vous ne pouviez pas regarder ou écouter quoique ce soit dans ce monde sans y être inclus -- sans leur être unis d’une manière mystérieuse. A nouveau, de mon point de vue, je suggèrerais que vous ne pouviez pas du tout regarder vers quelque chose dans ce monde, parce que le mot lui-même suppose une séparation qui n’existait pas là. Chaque chose était distincte, cependant chaque chose faisait aussi partie de tout le reste comme des riches motifs entremêlés d’un tapis…..ou des ailes d’un papillon. " Pages 45/46.

En d’autres termes, l’esprit et son environnement ‘sensoriel’ et conceptuel s’intègrent comme un tout cohérent, de sorte que la perception n’a pas besoin d’être spécialement créée, mais constitue plutôt un aspect homogène de l’existence de l’esprit.

La Théorie du Temps Figé

La Théorie du Temps Figé proposée postule que le monde spirituel est la forme d’existence originelle et dominante. De nombreux voyants revendiquent que le monde terrestre fonctionne à une gamme de fréquence plus basse que les objets du monde spirituel. En termes de la théorie actuelle des super cordes, les cordes et boucles du monde spirituel vibreraient à des fréquences beaucoup plus élevées que les objets du monde matériel. Cependant, comme décrit dans la citation d’Alexander ci-dessus au sujet de la nature holistique de l’expérience dans le monde spirituel, le programme Réductionniste en physique ( http://en.wikipedia.org/wiki/Reductionism ) est probablement inapplicable dans le monde spirituel, et tous les phénomènes là-bas sont de notre point de vue matériel le mieux caractérisés comme Émergeant par nature. ( http://en.wikipedia.org/wiki/Emergentism ).

La Théorie du Temps Figé suppose que le temps dans le monde terrestre peut être cartographié aux coordonnées d'une quatrième dimension spatiale dans le monde spirituel où le temps n'existe pas comme une flèche en mouvement mais comme des lieux différents. Donc, dans le monde spirituel, l’état d’être existe simultanément pour le passé, présent et futur. Alexander a acquis sa compréhension du temps lors d’une rencontre avec Dieu, et a rapporté le temps comme dimension spatiale.’ De ces mondes supérieurs on peut atteindre n’importe quel temps ou endroit de notre monde.’ Page 49 et voir le section suivante dessous pour plus d’explication. Cette théorie résout le paradoxe de la Prédestination (dans le sens où Dieu connait le futur) et du Libre Arbitre dans lequel le futur doit être capable de s’adapter à un comportement imprévisible. Un monde spatial à quatre coordonnées (dans lequel différentes existences temporelles terrestres sont situées à différents endroits) existe toujours, mais le contenu peut changer lorsque des évènements se déroulent dans le monde matériel. La théorie donc accueille aussi les cas paranormaux de prémonition (http://en.wikipedia.org/wiki/Precognition ). Éventuellement, ce qui existe aux emplacements à quatre dimensions correspondant à des événements futurs, peut être considéré comme similaire aux états de superposition quantique (http://en.wikipedia.org/wiki/Quantum_superposition ) dans lesquels un flux infini d’états potentiels existe dont seulement un culmine quand une interaction opérationnelle (observation ou opération de mesure) a lieu.

La Théorie du Temps Figé peut être appliquée pour expliquer comment l’intrication de particule (action fantôme à distance),[ comme d’abord proposée pour réfuter la mécanique quantique en 1935 par Einstein dans l’article Paradoxe EPR ( http://en.wikipedia.org/wiki/EPR_paradox ), et plus tard démontré en premier par Alain Aspect dans une expérience en 1982, être une prédiction valide de la théorie quantique ( http://www2.cnrs.fr/en/447.htm )], peut créer une apparente communication instantanée sur une distance illimitée. Dans l’espace 3D ordinaire, les deux particules appariées qui peuvent être faites pour démontrer l’intrication sont observées comme des entités séparées dans l’espace. Dans la Théorie du Temps Figé, les particules apparaissant séparées seraient observées comme particule unique et pourraient être localisées dans un espace 4D en un point unique de la dimension temps.

Mondes de Dimensions Supérieures dans le Monde Spirituel

La conceptualisation du temps comme quatrième dimension spatiale procure un cadre pour conceptualiser des dimensions d’ordre supérieur, comme requis par la théorie M qui en veut onze.

Considérons le processus consistant à encapsuler un cube 3D d'un espace matériel ordinaire et à le placer à un point sur une ligne temporelle, avec le temps comme dimension unique. Visualiser le cube du monde matériel à n’importe quel point dans le temps présente une image spatiale en 4D. Maintenant, prenez la ligne du temps et croisez-la avec une autre ligne pour former un graphique Cartésien à deux dimensions ; si le cube était déplacé hors de la ligne temporelle d’origine vers n’importe quel point du nouveau graphique, nous avons alors un système de coordonnées à cinq dimensions imagé. Ensuite, passez une autre ligne dimensionnelle à travers le graphique du graphique Cartésien de 4e et 5e dimensions (pour 4 et 5D), et le cube de matière 3D peut être bougé dans une espace 3D d’ordre supérieur, avec six dimensions représentées. Avec le cube 3D originel comme référence, nous pouvons encapsuler sa position dans le nouvel espace 3D d'ordre supérieur (espace 6D), puis le placer dans un autre espace 3D d'ordre supérieur, réalisant ainsi la conceptualisation de 9 -D. Ce processus de déplacement vers des dimensions de plus en plus élevées est illimité

Le Dr Alexander mentionné ci-dessus a déclaré que Dieu lui a fait savoir que le monde spirituel existe dans de nombreuses dimensions :’ J’ai u qu’il y avait d’innombrables dimensions supérieures, mais que la seule manière de connaitre ces dimensions est d’y entrer et de les expérimenter directement…le monde du temps et de l’espace dans lequel nous bougeons dans cet environnement terrestre est étroitement et de manière complexe lié à ces mondes supérieurs.’ Pages 48 et 49. De manière similaire dans un rapport ici sur NDERF.org, un monde multidimensionnel a été décrit :

'Cet endroit s’étendait à l’infini et cependant la pièce était là, comme dans un cube de verre. Le cube est la dimension que nous vivons sur Terre et n’est rien d’autre qu’une infime portion de la réalité de l’existence. Nous sur Terre, dans nos vies, ne voyons qu’avec ces quelques petits sens. Entre-temps, dans la RÉALITÉ, et c’est l’impression que j’ai eu, c’est que la vraie RÉALITÉ consiste en bien plus que les petites dimensions que nous avons sur Terre. Nous avons nos 5 sens sur terre et c’est sur cela que nous bâtissons tout le ressenti de ce que nous sommes et qui nous sommes et ce que nous faisons ici. En RÉALITÉ, il y a bien plus d’éléments et bien plus de sens nos êtres dotés d’âmes ont. Cela semble dingue, mais si vous pouvez imaginer cela, pour un physicien théoricien ou pour un Juif Mystique, cela a presque du sens je suppose. J’ai étudié ces choses pour essayer de trouver une logique l’information que j’ai reçu. NDERF.org référence: 4288. Heather V NDE 1/29/2017. NDE 23192.

Le mystère de la matière et de l’énergie noires, que l’on estime, à partir des effets gravitationnels, inclure plus de 95 % de l'univers, avec une énergie et une matière observables de moins de 5%, pourrait être expliqué par un univers multidimensionnel dans lequel énergie et matière ‘noires’, bien non directement observable, existent dans des dimensions supérieures. Les recherches son en cours pour cartographier les localisations de la matière et de l’énergie noires. (http://www.nature.com/news/cameras-to-focus-on-dark-energy-1.11391 )

Mécanismes Permettant à la Dualité Esprit-Cerveau de Fonctionner

Une caractéristique de cette théorie qui est entièrement commune au rapports des voyants et des EursMI est que notre âme, existant dans un monde spirituel sans corps matériels, et unie à un corps à un moment donné après fertilisation de l’œuf humain (ou animal supérieur), et avant la naissance.

L’association de l'âme avec la fonctionnalité du cerveau est un problème traditionnel en philosophie qui a été clairement mis en évidence par la théorie dualiste de Descartes qui faisait la distinction entre l'esprit/l'âme et le cerveau. Dans la théorie de Descartes, d’une certaine manière cerveau et esprit communiquaient via la glande pinéale ; sans tenir compte du site de communication, le mécanisme en soi n’était pas expliqué. Récemment, le Dr. Van Lommel a émis l’hypothèse (texte référencé précédemment, page 248) que la conscience opère selon les principes de la théorie quantique qui permet la non communication locale, càd, l’intrication, et de surcroit que la résonnance des ondes entre l’information dans un espace non local et les longues (un mètre) molécules d’ADN (servant d’antenne) peut expliquer la communication cerveau-conscience (page 275). Quelle que soit la manière dont cerveau et esprit communiquent, l’absence de toute interruption de conscience quand l’âme quitte le corps pendant des EMIs traumatiques montre clairement que l’esprit/l’âme opère pendant que l’âme est attachée au cerveau/corps pour informer la perception consciente.

Les voyants au cours des âges et les contemporains qui ont fait un épisode de Mort Imminente rapportent couramment que le monde matériel a une gamme de fréquence qui est bien plus lente que la ‘substance spirituelle. En termes de théorie moderne de super cordes, on peut émettre l’hypothèse que les cordes dans le monde matériel vibrent à une fréquence bien inférieure que les cordes dans monde spirituel.

Il est vrai que la technologie superhétérodyne, autrefois bien développée pour la réception et l'amplification d'émissions radio, ( http://en.wikipedia.org/wiki/Heterodyne ), offre une explication potentielle pour les moyens de communication entre cerveau et esprit. La base de la technologie est l’utilisation d’un oscillateur dans la radio pour fournir une forme d’onde porteuse de fréquence inférieure qui est alors mixée électroniquement avec des signaux de diffusion de fréquences supérieures par simple fusion sinusoïdale des deux sources de signaux. On a mesuré que le cerveau crée des formes d'ondes électriques (électroniques) qui correspondent à différents modes d'activité du cerveau, comme pendant le sommeil, l'éveil et la méditation. En utilisant un mélange superhétérodyne de formes d’ondes d’âme et de cerveau, chacune pourrait communiquer avec l’autre. L'appareil dit ‘Casque de Dieu’ pourrait fournir un moyen de tester cette hypothèse. (http://en.wikipedia.org/wiki/God_helmet).

Conscience Normale et Perception Consciente ne Requièrent Pas un Cerveau Normal

La théorie du Temps Figé conclut que la perception consciente ne peut pas être trouvée dans le fonctionnement électrochimique des neurones dans le cerveau, parce que on ne peut pas expliquer des états qualitatifs différenciés, comme voir rouge ou vert et entendre de la musique et humer des parfums ; et parce que les rapporteurs d’EMI mentionnent souvent que lorsqu’ils se sont sentis quitter leur corps, la perception consciente depuis l’intérieur du corps jusqu’au dehors était conti nue, sans interruption, impliquant fortement que la perception consciente vient de l’âme et pas du cerveau. Il existe également des preuves frappantes que la perception consciente peut avoir lieu de manière routinière chez des individus qui non seulement ne possèdent pas les structures cérébrales normales considérées comme nécessaires à la conscience et à la perception consciente, mais qui n'ont essentiellement aucun cerveau.

Le professeur John Lorber a découvert chez certains de ses patients hydrocéphales qui ont subi une perte massive de matière cérébrale normale qu'ils sont capables de fonctionner normalement sans les lobes cérébraux normaux (par exemple, cortex occipital manquant pour traiter les stimuli de la rétine et sans cortex frontal http://www.rifters.com/real/articles/Science_No-Brain.pdf ). Lorber cite le cas extrême d'un étudiant universitaire fonctionnant normalement avec un QI enregistré de 126 et qui, au moment des recherches de Lorber, obtenait un diplôme supérieur en mathématiques. "À la place des lobes corticaux normaux, d'une épaisseur d'environ 4,5 cm, il y avait une fine couche de cortex mesurant environ un millimètre d'épaisseur, le crâne étant rempli de liquide céphalo-rachidien à la place du cerveau normal."

Conclusions

Notre compréhension actuelle de la physique, intégrée à la fois à la Relativité Restreinte et à la Relativité Générale, établit que le temps est figé sous l'effet de la vitesse de la lumière ou d'une gravité extrême (conditions de trou noir), de sorte que le concept de temps figé est compatible avec la physique moderne. Les rapports d’individus ayant fait des EMIs et de voyants au cours des siècles soutiennent que le temps dans le monde spirituel ne s’écoule pas comme dans notre monde matériel, mais ils sont plutôt capables de voir simultanément passé, présent et futur. La Théorie du Temps Figé conceptualise le temps dans le monde matériel comme capable de se cartographier à une 4è dimension dans le monde spirituel comme une forme de localisation spatiale. En figeant le temps dans le monde spirituel, la recherche d’une explication sur quand et comment le monde matériel (ou le monde spirituel) est apparu perd de sa signification car la causalité nécessite le temps pour éclairer sa signification.

Le Paradoxe EPR de la physique quantique pour l’action fantôme à distance est explicable avec l’hypothèse que les particules intriquées séparées en 3D dans le monde matériel son colocalisées dans le monde spirituel, donc une action sur l’une des particules naturellement affecte instantanément ‘l’autre’. Un modèle spatial 4D de la réalité qui remplace un modèle 3D, avec le temps ajouté comme dimension spatiale, n’a pas de difficulté à expliquer les rapports de prémonition, de même que les rapports au sujet de la capacité de l’esprit de percevoir passé, présent et futur à volonté.

Note d'appréciation pour le Dr von Lommel qui a aimablement fourni une révision et une référence clé.

Jack H. Hiller, PhD, JD, est un scientifique appliqué et ingénieur à la retraite.

Il a obtenu un doctorat de l'UConn, Storrs, Connecticut en 1968, spécialisé dans la conception de la recherche, les statistiques appliquées et l'informatique. Il a obtenu un JD de la George Mason School of Law (Faculté de Droit) en 1995.

Il a travaillé comme professeur à la S Ill U, ainsi qu'à l'U Maryland et à l'U George Mason.

Sa carrière principale a été celle de chercheur scientifique à la Défense pendant 25 ans, depuis le poste de scientifique (GS 13) jusqu'à directeur de laboratoire (Fed Gov SES4, de 1974 à 1995), et il a pris sa retraite de l'état-major de l'armée au Pentagone en tant que directeur des technologies du personnel supervisent la conception de l'ingénierie des facteurs humains dans tous les principaux systèmes et définissent la politique pour toute la R&D de l'armée impliquant la conception de systèmes homme-machine (1995-1998).

Après avoir pris sa retraite de la R&D de l'armée, il a travaillé pour Northrop Grumman Corp en tant que scientifique en chef, assurant la gestion de programmes pour les physiciens doctorants et les ingénieurs en électronique (1999-2010).

Retraité en tant que membre de l'American Psychological Association et de l'American Psychological Society.

Ancien membre d'American Mensa.

Email: jh7138@gmail.com


Facilitateurs et obstacles possibles à la perception dimensionnelle

Jack H Hiller, 22 Avril 2016

Le but de cette analyse est de comprendre comment la perception humaine se forme pour les lignes (1D) et les plans (2D) et les espaces 3D, mais semble être absente pour la perception 4D et les dimensions supérieures.

Les rapports d’Expérience de Mort Imminente stipulent que le monde à de nombreuses dimensions supérieures, même si elles sont invisibles dans le corps matériel. La théorie des super cordes utilise les dimensions multiples seulement elles sont définies comme enroulées si étroitement autour d'une origine qu'elles en sont imperceptibles. Des rapports d’Expérience de Sortie-du-Corps, associées à une Expérience de Mort Imminente rapportent que le temps cesse de s’écouler, avec passé, présent et futur tous accessibles par la conscience (correspondant à la théorie de l'Eternalisme dans laquelle le passé et le présent existent toujours, et peut-être aussi le futur ( https://en.wikipedia.org/wiki/Eternalism_(philosophy_of_time) ). Ainsi, la principale question abordée est de savoir pourquoi nous ne voyons pas le temps en 4D comme une dimension réelle comparable aux trois dimensions spatiales que nous ‘voyons’.

Dans Flatland, la satire intelligente d’Abbott, ( https://en.wikipedia.org/wiki/Flatland ), il brosse les limites perceptuelles des habitants dans un plan plat(monde 2D) qui peuvent être des points, des segments de lignes, ou des objets à deux dimensions et se moque de leurs difficultés à voit, ou même imaginer des entités tridimensionnelles ; tandis que les frustrations de ces entités à zéro, une et deux dimensions à voir ou à comprendre des dimensions supérieures sont ironiquement drôles, Abbot a créé néanmoins un traitement métaphorique de la dimensionnalité qui peut être utile pour conceptualiser quatre dimensions et plus.

Analyse. Les concepts fondamentaux incluent la dimensionnalité de l’entité qui perçoit, la dimensionnalité des systèmes de récepteurs sensoriels et de perception de l'entité, et l'hypothèse de la capacité perceptuelle inhérente au système de perception. En aparté, il a été soutenu que la perception humaine n’est pas possible par la fonction cérébrale seule, mais nécessite une conscience qui peut recevoir l’information de perception sensorielle du cerveau ( https://www.nderf.org/NDERF/Articles/frozen_time.htm ), autrement dit qu’une certaine forme de dualisme esprit-cerveau de Descartes est nécessaire pour expliquer la perception.

Entités Point (0D), ligne (1D) et plan (2D).

Système Sensoriel Un point sans dimension peut théoriquement recevoir la lumière d’une autre point en utilisant un récepteur sensoriel ponctuel, sauf qu’un point mathématique n’a pas de dimension (il désigne seulement une localisation). Si nous prenons l’innovation de la théorie des super cordes pour agrandir un point en un cercle de rayon égal à la longueur Planck ( 1.616199 '10−35 mètres ), alors un point Planck pourrait recevoir la lumière de multiples points d’une ligne en tournant ou bougeant pour recevoir la lumière de points différents le long de la ligne, ou en utilisant une ligne sélectionnée de capteurs ponctuels. Les points d'énergie de ligne détectée peuvent être traités pour créer un stockage de données permettant une certaine forme de recréation des observations de points de ligne d'origine ; en d’autres termes, les rayons de lumière peuvent être convertis en ‘données’ représentant la lumière originelle impactant le système sensoriel, et les données peuvent être stockées pour récupération et traitement sous forme de points individuels ou sous forme de réseau de lignes. Cependant, une entité ponctuelle ne dispose encore que d'un seul point pour percevoir les données créées par la détection. Il est intéressant de noter qu’un capteur ponctuel avec une dimensionnalité d’environ 0 est capable de collecter des données provenant de sources d’énergie 1D supérieures.

Système de Perception Les données construites à partir d’une perception sensorielle peuvent être traitées pour permettre la perception d'un point unique ou d'un segment de ligne. Dans le système de perception humain, il y a plus de neurones fournissant une rétroaction au cortex visuel primaire (V1 ou cortex strié) que ceux provenant des rétines ; le cortex visuel primaire reçoit un retour des zones corticales visuelles de niveau supérieur jusqu'à l'hippocampe et son néocortex, ce qui implique que la mémoire est utilisée pour la reconnaissance et l'interprétation des données sensorielles qui soutiennent la perception. Ainsi, le système de mémoire prend directement en charge la reconnaissance des caractéristiques élémentaires qui contribuent à la perception. En fait, Hubel et Wiesel ont découvert des structures ganglionnaires dans la rétine même qui facilitent la détection d'une série de caractéristiques (lignes sous différents angles et mouvement ( https://en.wikipedia.org/wiki/Feature_detection_(nervous_system) ) et la sortie de détection de caractéristiques correspond directement aux zones associées du cortex visuel primaire ( http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2718241/ ). Il est important de noter que le système de perception sensorielle n’agit pas comme un système de transmission véridique d’images rétiniennes qui pourrait autrement être considéré comme fonctionnant comme un simple copieur de caméra pour les stimuli. La rétine est elle-même un organe complexe, et le cortex visuel est encore plus complexe dans la gestion des informations provenant de la rétine et de la mémoire à long terme pour traiter les informations sensorielles. Notez également qu'il n'existe aucune structure ou fonction connue dans les lobes frontaux qui enregistre la perception consciente d'un récepteur semblable à un œil. La nature de la perception associée au cortex frontal reste un mystère ( http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4168671/ ).

Entités Plane (2D) et Spatiale (3D)

Systèmes sensoriels La rétine, comme entité plane, peut utiliser une multitude de points (connectés comme un ganglion) pour détecter un segment de ligne. Une seule rétine existe dans un plan légèrement incurvé, elle est donc intrinsèquement légèrement dans l'espace 3D ; cependant, l'utilisation de deux rétines espacées séparées dans l'espace 3D permet d'obtenir une capacité distinctive à recevoir et à traiter des stimuli qui révèlent des signaux spatiaux 3D, tels qu'une taille réduite et un déplacement des objets lorsqu'ils s'éloignent de la fovéa (il existe des signaux supplémentaires tels que la brume et la quantité de brume avec des objets éloignés subissant une distorsion supplémentaire de la brume).

Systèmes de Perception Il est clair que le système de perception humain construit un enregistrement neuronal complexe d'informations sensorielles qui ne fournit en aucun cas une « copie » simple et directe d'objets et d'indices spatiaux stimulant les rétines. Le cerveau est donc responsable de la création d’information qui est en quelque sorte ‘interprétée’ et soutient la perception spatiale. Les rétines existent comme entités (humaines) 3D dans l’espace 3D. il ne devrait donc pas être surprenant que la perception spatiale soit obtenue, même si principalement à partir de deux rétines planaires. Néanmoins, les rétines existent aussi dans une dimension temporelle, mais aucune extension de temps n’est directement perçue, elle est seulement présumée (en admettant qu'il existe des structures neuronales qui servent de gardiens du temps dans le cerveau, comme des horloges ( http://link.springer.com/chapter/10.1007/978-1-4757-4131-5_11#page-1 ).

Hypothétique Entité 4D (le temps défini comme quatrième dimension spatiale)

L’hypothétique entité 4D, p.ex., un humain normal, ne perçoit pas directement une vision spatiale du monde en 4D dans laquelle le passé, le présent et le futur sont disponibles en regardant différents points d'une dimension temporelle physique. Mais nous voyons 3D et 2D, alors quelle est la barrière ? Une possible hypothèse explicative serait qu’en fait nous ne percevons en réalité pas non plus les réalités spatiales 3D et 2D, mais plutôt, notre perception est complètement une construction ou fabrication. Le système visuel humain n’est en aucun cas construit pour copier ou modéliser véridiquement son environnement de la même manière que fonctionnent les caméras de cinéma ou les caméras de télévision ordinaires. En commençant par les rétines, le système visuel sélectionne des signaux, tels que des gradients et des bords d'intensité lumineuse en fonction de l'orientation, pour la transmission et le traitement, et ce traitement inclut de manière importante un guidage de la mémoire à long terme, avec des attentes perceptuelles générées à la fois par la mémoire inconsciente et par des attentes conscientes. En d’autres termes, nous ne percevons pas directement le monde, mais fabriquons activement une représentation qui apparaît dans la perception consciente ( http://psychclassics.yorku.ca/Bruner/Cards/ ). Alors pourquoi la perception consciente s’arrête-t-elle à la 3D ?

Le bon sens veut que nous voyions trois dimensions spatiales et non quatre. Mais nous vivons le temps comme une continuation d’objets dans notre environnement de perception. Donc, dans un sens réel, nous percevons la continuation, ou l'existence du temps par perception instantanée et mémoire à court terme des images mentales, avec la capacité de détecter des changements dans la perception d’objet au cours du temps, p.ex., une balle lancée à un frappeur, le swing du frappeur et la balle qui s'envole lorsqu'elle est frappée. En d’autres termes, la théorie de l’Eternalisme pour des états temporels passés et présents correspond à une perception effective, seul le futur manquant. Compte tenu que le futur existe comme une infinité d’états possibles, une superposition quantique ( https://en.wikipedia.org/wiki/Quantum_superposition ), toute construction d’une telle perception du futur créerait une forme de flou inutile et déroutant. Vraisemblablement, l’évolution du cerveau a continuellement occulté toute capacité émergente à imager un tel flou inutile.

La question peut être posée de pourquoi nous ne percevons pas des dimensions d’ordre supérieur, telles que la 5è ou 6è, etc… Une réponse pourrait se trouver dans la métaphore utilisée dans Flatland de Abbot. Des dimensions d’ordre supérieur peuvent exister, mais comme entités 4D, nous n’avons pas les systèmes sensoriels requis pour l’observation dans les dimensions supérieures, p.ex. 3 rétines ou plus. On pourrait réfléchir à la manière dont les capteurs pourraient être disposés pour capturer des images spatiales 4D et supérieures. Cependant, en ce qui concerne la 4D, nous capturons en fait régulièrement de tels objets à chaque fois que nous regardons ou prenons une photo d'un objet physique réel, ce qui a été rendu possible par le capteur et l'objet observés "existant" ensemble pendant plus que la durée de Planck (10 à moins 43 secondes, défini comme le temps qu'il faut à un photon se déplaçant à la vitesse de la lumière pour traverser la longueur de Planck, 1,616199' 10−35 mètres). La question se pose alors de savoir pourquoi nous ne considérons généralement pas notre vision du monde réel en 4D lorsque nous le faisons.

Le piège conceptuel consistant à imposer des concepts mathématiques à l'interprétation du monde physique réel

Dans le texte ci-dessus, nous faisons référence aux points comme emplacement sans dimension dans ‘l'espace’, aux segments de ligne comme 1D, aux zones planes comme 2D et aux objets spatiaux comme 3D. On s’interroge aussi sur le fait de ne pas ‘voir’ une 4è dimension hypothétique. Cependant, les dimensions évoquées ont été implicitement définies comme des concepts mathématiques idéalisés (éternelles formes idéales de Platon https://en.wikipedia.org/wiki/Theory_of_Forms ) de telle sorte que la persistance dans le temps de tout objet du monde réel, physique est ignorée en tant que forme. Néanmoins, les créatures d’Abbot, par exemple, pour posséder un caractère et une activité définissables, doivent persister et, selon la terminologie conventionnelle, elles disparaissent ou persistent dans le temps. Ainsi, les créatures ponctuelles d'Abbott à placer dans le réel ne seraient pas 0D, 1D et 2D, mais 1D, 2D et 3D pour reconnaître leur existence temporelle. Selon cette conception, nous avons une conscience directe du temps en tant que persistance, mais aussi en tant que changement (par exemple, mouvement et altération).

On peut alors s’interroger sur les différences de perception pour les dimensions spatiales et temporelles du monde physique, le temps étant considéré comme une dimension de la persistance. Nous pensons qu’il y a une différence de qualité entre le temps et les dimensions spatiales, parce que on peut voir, par exemple, une vraie règle comme un bord ou un objet plan (en ignorant son épaisseur), mais nous ne pouvons pas voir le temps en tant que tel, n'est-ce pas ? Si nous considérons le temps comme la persistance de n’importe quel objet du monde réel, alors nous voyons effectivement l’effet du ‘temps’ quand nous voyons tout objet persister statiquement ou changer. Nous percevons l’effet ou le résultat du temps en voyant la persistance ou le changement des objets observés. En fait, nous ne voyons PAS non plus de dimensions spatiales idéales, car ce sont uniquement des objets mathématiques qui ne peuvent pas être ‘vus’. Par exemple, il serait impossible de voir un point mathématiquement défini, car il n’occupe aucun espace tangible, mais se voit simplement attribuer un emplacement dans un espace multidimensionnel idéalisé ( https://en.wikipedia.org/wiki/Point_(geometry) ). Il en va de même pour toutes les dimensions ordinaires de longueur, de hauteur et de largeur. Ce que nous pouvons voir, ce sont des objets du monde réel, avec des dimensions spatiales, mais seulement s'ils persistent dans le temps.

Néanmoins, même lorsque nous voyons des objets du monde réel physique persister dans le temps, nous ne ‘voyons’ pas vraiment cela, dans le sens où une caméra détecte l'énergie réfléchie par n'importe quel objet et transduit assez directement l'énergie acquise en un ensemble de données ou une image dans un film ou un écran de visualisation.

Les énergies collectées par la rétine sont tissées de manière complexe par le traitement cortical, aidé par la mémoire à long terme suscitée par des « similitudes » reconnues consciemment ou inconsciemment pour l'objet de vision. Notre perception est une construction et, comme le révèlent trop souvent les témoins au procès, est sujette à des erreurs substantielles ( https://en.wikipedia.org/wiki/Eyewitness_testimony ) cela va au-delà des simples problèmes de récupération de mémoire. La perception humaine ne crée aucune copie véridique d'un objet observé, mais s'appuie plutôt sur une représentation mentale - mais nous ne comprenons pas encore comment cette représentation est entièrement construite puis perçue dans la conscience. La conclusion ici est que la perception des dimensions spatiales n’est pas plus substantielle en qualité que la perception de la persistance et du changement. L’étendue spatiale est un concept abstrait autant que le temps est une abstraction.

Les objets 3D tangibles nécessitent une existence temporelle, mais pas les particules quantiques

Cependant, on peut encore affirmer que, même si les constructions mathématiques idéales pour l’espace 3D peuvent être intangibles, et que l’espace idéalisé est également intangible, les objets physiques dans l’espace manifestent les trois dimensions et les objets spatiaux sont observables. Même si nous ne « voyons » pas les dimensions spatiales en tant que telles, nous voyons des objets à partir desquels nous pouvons utilement imposer un système de coordonnées 3D. C'est assez vrai, mais il s'ensuit également que de tels objets, ainsi que leur cadre tangible ou leur environnement, doivent également persister dans le temps, c'est-à-dire que sans existence temporelle, les objets n'existent pas. Ainsi, le temps, représenté par la persistance observée (y compris le changement), doit persister pour tout objet physique 3D. En d’autres termes, sans temps, au moins aussi longtemps que la constante de temps de Planck, les objets n’existent pas, le temps est donc un compagnon obligatoire de la spatialité. Nous ne pouvons pas penser correctement aux objets réels sans également inclure le temps, sinon les objets réels potentiels ne dureraient pas assez longtemps pour être observés, et encore moins se comporter selon les lois de la physique.

On pourrait faire valoir que les objets du monde réel ne sont pas simplement une illusion construite par une perception visuelle d'eux construite par le cerveau, car nous pouvons également inclure une perception tactile corrélée des objets, nous les ressentons. Cependant, il est tout aussi vrai pour la perception tactile qu'elle doit également persister dans le temps ; la persistance est donc également requise pour la perception tactile. Sans persistance dans le temps, il n’est pas possible de percevoir des objets dans l’espace dans notre monde matériel.

Dans le domaine des phénomènes quantiques, cependant, la persistance dans le temps n'est pas requise pour que les entités « existent », car les particules élémentaires « disparaissent » régulièrement dans le flux quantique ( https://en.wikipedia.org/wiki/Quantum_fluctuation ), tandis que des entités quantiques surgissent également du vide spatial pour exister. Il existe donc une différence entre les phénomènes quantiques et la matière au niveau macro que nous rencontrons couramment en ce qui concerne la persistance.

Une conjecture sur l'espace-temps matériel et la conscience

L'espace-temps ordinaire, tel qu'il est vécu dans le monde matériel, le temps se déplaçant dans une direction allant du passé vers le futur, est bien représenté par l'entropie dans la deuxième loi de la thermodynamique. (https://en.wikipedia.org/wiki/Entropy_(arrow_of_time) ), et cela inclut l’hypothèse d’un changement régulier, ou d’une progression fonctionnant automatiquement comme une loi universelle. Le monde réel dans lequel nous vivons est soumis à des changements continus. Contrairement au monde matériel, les témoignages des individus ayant fait une ESC indiquent qu’il n’y a aucune impression de temps qui passe, que le changement n’est en aucun cas automatique et que, bien que le temps existe, il correspond à différents endroits dans un véritable espace 4D où le passé, le présent et le futur existent tous simultanément et sont accessibles instantanément par la pensée. Au cours de l’ESC, les individus rapportent également qu'ils ont des « corps » qui brillent, comme s'ils étaient faits de lumière, et que toutes les autres entités brillent également ; si le domaine de la conscience est peuplé de photons, alors le temps ne s'écoule pas comme le veut la Relativité Restreinte

La capacité de penser dans le domaine de la conscience avec des résultats instantanés et d'accéder instantanément à différents emplacements dans une dimension temporelle rappelle l'intrication quantique dans laquelle l'effondrement de la fonction d'onde de Schrödinger pour n'importe quelle particule est en quelque sorte instantanément communiqué à une particule partenaire - -quelle que soit leur distance de séparation (la plainte d'Einstein concernant une action effrayante à distance).

Ainsi, l’intrication quantique partage son mode de fonctionnement instantané avec les descriptions de la façon dont la conscience fonctionne pendant l’ESC lorsque l’esprit est séparé du cerveau matériel. De plus, l'apparition matérielle d'entités quantiques depuis le vide de l'espace implique que, si de telles particules proviennent d'un endroit invisible, cela peut provenir du champ de conscience comme leur foyer, le monde matériel ordinaire existant comme un sous-ensemble d'un espace multidimensionnel d'ordre supérieur (une affirmation faite par certains rapports d’Expérience de Mort Imminente et par des voyants à travers les âges).

Conclusion

Les concepts primitifs, initialement définis en eux-mêmes, incluent la « localisation » dans « l'espace » et l'extensibilité dans l'espace. L'extensibilité inclut les quatre dimensions que nous appelons espace-temps. Nous avons culturellement considéré l’extensibilité spatiale comme étant directement observable dans les objets du monde réel, mais pas dans le temps, le temps étant considéré comme une abstraction mystérieuse. L'argument a été avancé ici que les trois dimensions de l'extensibilité spatiale, et l'espace lui-même dans lequel l'extension peut être présente soit en mathématiques, soit en physique du monde réel, sont des concepts abstraits équivalents dans leur caractère intangible avec le ‘temps’ comme abstraction. Cependant, la Théorie de la Relativité Restreinte d'Einstein relie en fait les concepts primitifs d'espace et de temps en tant que concepts interdépendants. "Le temps et l'espace ne peuvent pas être définis séparément l'un de l'autre. Au contraire, l'espace et le temps sont entrelacés dansa single continuum known as spacetime. " ( https://en.wikipedia.org/wiki/Special_relativity )

La conscience humaine est nécessaire pour comprendre les idées abstraites de l'espace-temps, et la perception consciente humaine est nécessaire pour effectuer l'observation et la mesure de l'espace-temps dans des environnements du monde réel. Bien que la perception visuelle ordinaire ne soit pas elle-même culturellement considérée comme mystérieuse pour la vie quotidienne ordinaire, ni même considérée comme étrange par ceux qui acceptent leur EMI avec l'expérience de sortie-du- corps qui y est associée, la conscience et la perception consciente restent de véritables mystères pour la science.