EMI Julie BB
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DESCRIPTION DE L'EXPERIENCE :

L’histoire de Julie : du noir à l’or

Le jour où Satan a essayé de m’éliminer pour de bon semblait être un week-end normal. Je voulais prendre du temps pour écrire, alors j’ai choisi de rester à la maison pendant que mon mari, Bill, assistait à un événement social pour certains de ses collègues.

Tout a commencé par un battement de cœur fort, que je n’arrivais pas à calmer, et des étourdissements. Ma montre Apple faisait clignoter des lettres rouges. J’avais l’impression que ma bouche était remplie de coton et d’autres fonctions de mon corps m'ont fait défaut. Je n’arrivais pas à réfléchir clairement et de temps en temps, un nuage noir planait autour de ma vision. Alors que je trébuchais littéralement à travers la maison en me demandant : « Que se passe-t-il ? », j’ai clairement entendu le Seigneur me dire de traiter cela comme une réaction allergique. Je n’avais pas opéré aucun changement récemment, à part un régime plus équilibré. Je doutais qu’il s’agisse d’une allergie. C’étaient des symptômes que je n’avais jamais ressentis auparavant. « Considère ça comme une réaction allergique, Julie ». J’ai entendu cela clairement, alors je me suis dirigée vers la cuisine et j’ai pris la plupart de mes médicaments de secours par voie orale. De retour sur le canapé, j’avais désespérément envie de m’allonger sur le ventre parce que j’avais envie de m’évanouir, mais chaque fois que je commençais à m’allonger, j’entendais aussi « NE t’endors PAS ». Alors je me secouais et je tirais sur mes muscles faibles pour me mettre en position assise à chaque fois en répondant : « OK ». Je pensais que c’était une bonne chose que mes voisins ne puissent pas m’entendre me parler à moi-même. Les médicaments ne fonctionnaient pas. J’ai essayé d’envoyer un texto à Bill et j’ai échoué parce que mes mains tremblaient tellement, mais j’ai finalement envoyé 2 messages. « Je suis vraiment malade. C’est peut-être une réaction. Rentre à la maison ? » J’ai hésité à appeler le 911 et j'y ai renoncé trois fois. J’ai commencé à envoyer un message à ma fille et à mes parents, et je n’ai pas pu terminer ni l’un, ni l’autre. Mon corps entier tremblait et ma vision était floue. Alors que je me dirigeais vers les toilettes, puis en revenais, avant d'aller une fois à l'étage pour essayer de me changer, j'agrippais mon téléphone et me concentrais pour être sûre de le saisir à chaque fois que je quittais la pièce, si j'avais dû le poser.

« Considère cela comme une réaction allergique ». La voix a résonné à nouveau, me déconcertant. J’avais pris mes médicaments ! J'ai enfin compris. Mon EpiPen ! Je suis retournée dans la cuisine et l'ai pris. Je ne m’étais jamais piquée auparavant et me rendais plutôt généralement aux urgences. Mais j’avais peur de ne pas y arriver cette fois-ci. D’une manière ou d’une autre, je savais que j’étais en danger cette fois-ci.

Je me suis précipitée vers mes lunettes de lecture pour lire les instructions floues et me suis piquée dans la cuisse avec l’Epi Pen. En bafouillant mes mots et en me concentrant fort, j'ai compté soigneusement jusqu’à dix et l'ai retiré. Je l'ai jeté sur la table basse en me disant que je devrais le bouger pour que personne ne se pique par la suite. Une fois qu'on devient mère … n’est-ce pas ? Pendant quelques minutes, les choses ont paru légèrement s'améliorer. Mais ensuite, les symptômes sont réapparus avec force, et je ne pouvais plus rester debout. Mes muscles se sont encore plus affaiblis, et je pouvais à peine bouger mes bras et mes jambes. Les tremblements de mon corps secouaient maintenant tout le canapé. Il fallait appeler le 911. L'opératrice voulait davantage d'informations, mais je n'arrivais pas à formuler correctement mes mots. Dès que j'ai réussi à dire « Allergies. Pris Epi Pen », elle s'est empressée et m'a assurée que les urgentistes n'étaient qu'à quelques kilomètres de distance. En effet, un ambulancier m'a dit par la suite que j'avais eu de la chance. Ils avaient terminé un appel dans mon secteur et quittaient la ville lorsque l'appel me concernant est arrivé. Ils auraient probablement été beaucoup plus loin si j'avais attendu plus longtemps pour appeler.

L'ambulancier est arrivé à la porte d'entrée et j'ai réussi à l'y rejoindre, mais Non sans avoir tenté de me retourner et de m'effondrer dans l'escalier. « J'ai une meilleure idée. Prenez mon bras ». Je l'ai fait, il m'a entourée de ses bras, m'a fait sortir, m'a poussée dans l'ambulance et m'a attachée sur un brancard. « Je peux mieux vous soigner ici que dans votre escalier ».

J’ai enfin eu le sentiment de pouvoir m’évanouir en toute sécurité et cette fois-là, je n’ai entendu aucune voix me dire de rester éveillée, et j’ai donc refait cela au moins 4 fois de plus. J’ai continué à réciter le psaume 23 dans ma tête et j’ai pensé à toutes les pertes que ma famille avait déjà subies. J’ai prié pour rester ici-bas avec eux tous pour cette raison. La première fois que j’ai repris conscience, j’ai demandé leurs noms aux ambulanciers. Après tout, ils connaissaient déjà le mien. Chaque fois que je me réveillais, je voyais nos arbres par la fenêtre. « Pourquoi sommes-nous toujours chez moi ? » Romi avait fait une prise de sang dans ma main, il avait demandé à son partenaire de faire un test de laboratoire et m’avait donné du Benadryl et une dose de stéroïdes. Mon rythme cardiaque était tellement élevé qu’ils hésitaient à m'administrer une autre dose d’Epi Pen. Et je n’arrivais pas à penser de manière suffisamment cohérente pour leur dire que j’ai généralement un rythme cardiaque élevé lors de réactions allergiques – l’Epi Pen le fait en fait baisser. Chaque fois que je m’évanouissais, ils me secouaient par l’épaule, m’appelaient par mon nom et me posaient des questions. Je répondais du mieux que je pouvais, mais je m’évanouissais souvent au milieu d’une phrase. Je savais que cela allait arriver parce que le même nuage gris-noir apparaissait sous mes yeux, puis se déplaçait jusqu’à un point précis. Un véritable fondu au noir. Ensuite, il n’y avait plus rien jusqu’à ce qu’ils me réaniment à nouveau. La dernière question dont je me souviens, c’était où je travaillais et, en essayant avec précaution de faire passer des mots à travers ma gorge et ma bouche toutes gonflées, je leur ai dit que je travaillais pour ARMS, une association chrétienne à but Non lucratif qui aide les victimes de violences domestiques, et que j’étais également écrivain. Le silence a rempli l’ambulance. « Vous faites quoi ? » Le chauffeur a sifflé : « Je parie que ce n’est pas du tout stressant ». J’ai essayé de lui sourire et je crois avoir dit : « Eh bien, certains jours… » J’aurais dû dire : « Pas plus stressant que vôtre boulot ! »

Je savais que j’étais sur le point de m’évanouir à nouveau, alors j’ai renoncé à discuter. Mes yeux se sont fermés et j’ai senti ma tête tomber sur le côté pour la énième fois. Je me sentais en sécurité là-bas et je savais que les 2 ambulanciers s’afféraient sur moi. Mais pourquoi n’allions-nous pas à l’hôpital ?

Cette fois-là, il n’y a pas eu de gris-noir. Il n’y avait qu’un nuage d’or à moitié solide devant moi. Qu’était-ce que c’était ? Dieu m’a donné le don de la curiosité, parfois à mon grand désespoir, et essayer de comprendre cela est devenu ma nouvelle idée fixe. Alors que je fixais du regard le nuage d’or qui était quelque peu solide, mais dont les bords étaient mouvants, j’ai remarqué un mouvement derrière lui. Des formes. Des gens. Lorsque j’ai tendu le cou vers l’avant pour regarder de plus près, deux carrés de verre vivants et respirants ont pris position, bloquant ma vue. Je ne pouvais pas m’empêcher de regarder. C'était principalement orange (je crois à cause de la lumière qui brillait derrière), mais également jaune et rose avec un léger violet, et cela se déplaçait selon un motif kaléidoscopique. Il y avait une fleur dans le verre, puis une autre, avec des perles blanches et de l’onyx noir incrusté, qui bougeait, se déplaçait, tournait. J’ai pensé à notre prochain voyage d’anniversaire à Hawaï et aux belles mosaïques que mon père fabrique. Les couleurs ne ressemblaient à rien de ce que j’avais vu auparavant et je ne pouvais pas m’empêcher de fixer cela du regard. Mais j’ai immédiatement compris que je n’étais pas censée voir ce qu’il y avait dans le nuage d’or. Et puis, sentant sa présence, j’ai réalisé que mon Seigneur se tenait à ma droite, mais je ne pouvais pas Le voir Non plus. Je n’étais pas censée Le voir encore.

« Pas encore », a-t-il confirmé d’une voix de baryton riche et magnifique qui me donne encore des frissons, mais qui m'a fait me sentir tellement en sécurité. « Repars. Il y a encore tellement de travail à faire ». Je crois que les mots qui seraient alors sortis de ma bouche auraient probablement été : « Oui, Seigneur », si j’avais pu parler, mais dès qu’il a dit « Repars », j’étais déjà en train de reculer dans un tourbillon à 200 kilomètres à l’heure, semblait-il. Pourtant, j’ai entendu le reste de sa phrase comme s’il voyageait à côté de moi. Quelqu’un m’a soutenue sur le chemin du retour. J’ai ouvert les yeux, de retour dans l’ambulance, pendant que l’ambulancier m’injectait enfin davantage d’épinéphrine dans la main et disait à son partenaire de se dépêcher pour gagner l’hôpital.

« On dirait que tu as du travail à faire », a dit Romi alors que nous sortions du cul-de-sac. J’avais envie de rire – il n’avait pas la moindre idée. Dieu m’avait dit de repartir ! Et de continuer à travailler comme une abeille ouvrière !

Je me suis encore évanouie plusieurs fois à l’hôpital pendant qu’ils me soignaient, mais je n’ai pas eu l’occasion de retourner au paradis. Ils ont finalement réussi à me stabiliser et à un moment donné, le médecin s’est arrêté sur le pas de la porte pour me dire qu’avec mes antécédents médicaux, il fallait que je sache quoi faire, et que je l’avais fait. « Vous saviez exactement ce dont vous aviez besoin ». J’aurais voulu dire : « Merci de m’avoir écoutée, mais je n’ai pas eu l’impression d’avoir eu une allergie. Dieu m’a dit que c’en était une », mais je n’arrivais toujours pas à m'exprimer clairement. L’infirmier m’a dit par la suite que si je ne m’étais pas piquée avec mon Epi Pen, la conversation aurait été très différente – avec mes proches, pas avec moi.

Par la suite, j’ai cité un verset de la Bible à cet infirmier, et je ne me souviens plus lequel. Mais je me suis ensuite corrigée. Je l’avais mal formulé et il a tapé sur le clavier de l’ordinateur en riant. « Vous avez raison ! C’est exactement ce qui est écrit ».

Bon, d’accord. Apparemment, ce n’était pas à lui que j’étais censée citer cela.

Une fois le moment venu, et grâce, enfin, à un médicament qu’ils n’avaient pas encore essayé et qui affecte le récepteur H3 (histamine) de notre corps et grâce à un sachet plein de liquide qui s’est déversé en quelques minutes, je me suis redressée. Ma bouche n’avait plus le sentiment d’être remplie de coton – je pouvais à nouveau parler. Ma gorge fonctionnait. Je contrôlais mes muscles. Mes tremblements corporels incessants avaient enfin cessé et mon rythme cardiaque semblait normal. J’ai souri. J’avais vu les abords du paradis ! Et j’avais entendu mon Dieu ! J’ai commencé à discuter avec qui voulait m’écouter, y compris Bill, qui venait d’arriver et qui s’était précipité dans la pièce. « C’est le mari », a-t-il entendu en entrant. J’ai dû avoir l’air d’une folle (Oui, j’ai vite réalisé que certaines personnes me regardaient très bizarrement si je leur disais que j’avais visité le paradis, mais pas mon mari, bien sûr). Le médecin, qui observait apparemment les moniteurs, s’est précipité à l’intérieur et m’a demandé comment je me sentais. « Comme une personne normale ! » me suis-je exclamée. « Merci ! Merci de remercier votre équipe de ma part … »

En fait, je ne me sentirai peut-être plus jamais « normale ». Mais ce n'est pas une mauvaise chose.

Mon médecin traitant m’a confirmé par la suite que j’avais effectivement eu un arrêt cardiaque dans l’ambulance. Même si je « le savais », le fait que cela soit confirmé médicalement était une validation incontestable. Je suis restée avec une incroyable sensation d’espoir et de bénédiction. Et pourtant, me remettre de cette crise est également un fardeau. Tout est différent maintenant. Je ne peux pas arrêter de réfléchir et je ne peux pas arrêter de m’émerveiller de voir que Dieu apprécie le travail que je fais pour Lui ici-bas. C’est important – et il y a encore beaucoup à faire ! Et j’avais pensé que l’expression « Penser éternellement » signifiait qu’un jour, certaines des choses que je fais ici ne seraient plus importantes. Tel n’est pas le cas.

Le lendemain de mon voyage au ciel, Il m’a conduit à la Première Épître aux Thessaloniciens et presque chaque verset m’a sauté aux yeux avec une nouvelle signification et un impact retentissant, inconnu auparavant. Je n’arrêtais pas de dire à mon mari et à mes parents : « C’est comme si Paul avait été au ciel. C’est dans tout ce qu’il écrit ». J’ai dévoré tout ce que Paul avait rédigé. Et j’ai récemment découvert que la plupart des commentateurs s’accordent à dire que lorsque Paul parlait d’un « ami qui était allé au ciel et ne pouvait pas parler de ce qu’il avait vu », il parlait de lui-même.

J’appartiens à un club au sujet duquel je n’ai que lu. Ma foi et mon Dieu sont réels. La peur était vraiment absente de la mort – et Oui, à certains moments dans le passé, je l’ai crainte. Je crois qu’il aurait été beaucoup plus difficile de revenir et de me réadapter s’Il m’avait permis de voir dans le nuage doré, les gens que j’aime et qui m’ont précédée, ou Son visage radieux.

Au lieu de cela, Il a fermé les portes. Je trouve cela particulièrement intéressant parce que lorsque j’ai prié la majeure partie de ma vie d’adulte pour demander Son aide en vue d’entamer les étapes suivantes, ou lorsque je priais pour les filles avec qui je travaillais, j’avais toujours prié pour que les portes soient fermées plutôt qu’ouvertes. C’est tellement plus clair.

Je ne frémis plus quand je vois des gens porter à la fois de l’orange et du rose. Depuis l’enfance, la couleur orange m’a toujours semblé hideuse et j’avais pensé que le mélange des deux ne devrait absolument pas exister. Je n’ai jamais aimé le jaune Non plus. Mais je me trompais. Les couleurs que j’ai vues, je n’ai pas pu les retrouver ici-bas sur terre, même en mélangeant mes crayons de couleur pour tenter de dessiner ce que j’avais vu.

J’ai toujours cru que j’avais de bonnes chances de mourir un jour d’une réaction allergique – et j’avais raison. Satan a fait de son mieux pour tenter d’en profiter. Mais il ne possède pas mon âme – mon Seigneur la possède. Et apparemment, je ne suis qu’un Lazare – avec apparemment beaucoup plus de travail à faire pour Lui avant de mourir pour de bon.

Renseignements généraux :

Genre : Femme

La date à laquelle l’EMI est survenue : 24/08/2024

Éléments de l'EMI :

Au moment de votre expérience, y avait-il un événement qui menaçait votre vie ? Oui. Maladie. Mort clinique (arrêt de la respiration ou de la fonction cardiaque). Réaction allergique.

Comment considérez-vous la teneur de votre expérience ? Tout à fait agréable.

Vous êtes-vous sentie séparée de votre corps ? Non

Comment votre degré de conscience et de lucidité le plus élevé durant cette expérience se compare-t-il à celui que vous avez au quotidien en temps normal ? Davantage de conscience et de lucidité que normalement. Juste plus alerte et consciente de choses que je n’avais jamais apprises sur terre.

À quel moment de l'expérience étiez-vous à votre plus haut niveau de conscience et de lucidité ? Une fois que je suis arrivée auprès du nuage d’or.

Est-ce que vos pensées allaient rapidement ? Plus vite que d'habitude.

Est-ce que le temps vous a paru s'accélérer ou ralentir ? Tout semblait se produire en même temps, ou bien le temps s'était arrêté ou avait perdu toute signification ? Le temps ? Quel temps ?

Est-ce que vos sens étaient Plus vifs que d'habitude ? Plus vifs que d'habitude.

Veuillez comparer votre vue pendant l'expérience à la vue quotidienne que vous aviez juste avant le moment de l'expérience. Je n'ai pas senti de différence à ce moment-là, mais depuis, je souffre d'une fatigue oculaire. Pendant dix jours, je n'arrivais pas à comprendre le mal de tête derrière mes yeux et je ne pouvais pas sortir sans lunettes de soleil.

Veuillez comparer votre ouïe pendant l'expérience à l’ouïe normale que vous aviez juste avant le moment de l'expérience ? Mon ouïe s'est améliorée depuis.

Avez-vous eu l'impression d'être consciente de choses se déroulant ailleurs ? Non

Êtes-vous passée dans ou à travers un tunnel ? Non

Avez-vous vu des êtres durant votre expérience ? Non

Avez-vous rencontré ou été consciente de la présence d'êtres décédés ou encore vivants ? Non

Avez-vous vu ou vous êtes-vous sentie entourée par une lumière brillante ? Une lumière clairement d’origine mystique ou surnaturelle.

Avez-vous vu une lumière surnaturelle ? Oui. Le nuage d’or était si brillant et les portes/barrières qui se sont formées étaient comme du verre vivant et brillant. Principalement un orange que je ne peux pas trouver ici-bas sur terre.

Avez-vous eu l’impression d’entrer dans un autre monde, surnaturel ? Une dimension clairement mystique ou surnaturelle - le Paradis, apparemment.

Quelles émotions avez-vous ressenties durant l'expérience ? Un amour extrême. De la tristesse de Dieu quand Il m'a renvoyée. De la paix et de la curiosité.

Avez-vous éprouvé une sensation de paix ou de bien-être ? Paix ou bien-être incroyable.

Avez-vous eu un sentiment de joie ? Du bonheur

Avez-vous eu l'impression d'être en harmonie ou d'être unie avec l’Univers ? Non

Avez-vous eu l'impression de soudainement tout comprendre ? Non

Est-ce que des scènes de votre passé vous sont apparues ? Non

Est-ce que des scènes de l’avenir vous sont apparues ? Non

Êtes-vous arrivée à une frontière ou à un point de Non-retour ? Je suis parvenue à une barrière que je n'avais pas le droit de franchir, ou j'ai été renvoyée contre ma volonté. La décision ne me revenait pas. Honnêtement, j'aurais pu aller dans un sens ou dans l'autre.

Dieu, Spiritualité et Religion :

Quelle était votre religion avant cette expérience ? Chrétienne – Protestante.

Est-ce que vos pratiques religieuses ont changé depuis cette expérience ? Non

Quelle est votre religion maintenant ? Chrétienne – Protestante.

Est-ce que cette expérience comportait des éléments en accord avec vos croyances terrestres ? Un contenu qui était tout à fait conforme aux croyances que vous aviez au moment de votre expérience.

Est-ce que vos valeurs et vos croyances ont changé à cause de votre expérience ? Non

Avez-vous eu l'impression de rencontrer un être mystique ou une présence, ou d'entendre une voix non identifiable ? J'ai rencontré un être précis, ou une voix clairement d'origine mystique ou surnaturelle. Jésus m'a dit de repartir. Qu'il y avait encore beaucoup de travail à faire.

Avez-vous rencontré des êtres décédés ou religieux ? Non

Avez-vous rencontré ou été consciente de la présence d'êtres qui ont vécu auparavant sur la terre et qui portent des noms religieux ? (Par exemple : Jésus, Mohammad, Bouddha, etc.) Oui. Jésus se tenait à côté de moi, mais je ne pouvais pas le regarder.

Durant votre expérience, avez-vous acquis de l'information à propos d'une vie antérieure ? Non

Durant cette expérience, avez-vous acquis de l'information sur une connexion universelle ou unicité ? Non

Durant votre expérience, avez-vous acquis de l'information sur l'existence de Dieu ? Oui. Il est là-bas, certainement.

Concernant nos vies terrestres en dehors de la religion :

Durant votre expérience, avez-vous acquis une connaissance ou de l'information à propos de vos objectifs de vie ? Oui. Mon travail n'est pas terminé et il est plus vital que je ne l'espérais.

Durant l'expérience, avez-vous reçu de l'information quant au sens de la vie ? Oui, nous sommes ici pour travailler pour Lui. Il ne nous ramènera pas à la Maison tant que ce travail ne sera pas terminé.

Au cours de votre expérience, avez-vous obtenu des informations sur l'au-delà ? Oui, il y a une vie après la mort et Dieu est réel et il a hâte que nous revenions tous à la maison.

Avez-vous appris comment vivre nos vies ? Oui, les révélations sont encore à venir.

Durant votre expérience, avez-vous acquis de l'information à propos des difficultés, défis et obstacles de la vie ? Oui, tout ira bien en fin de compte. Nous ne comprenons pas tout ce qui se passe ici et tout le chagrin, mais un jour nous le comprendrons.

Durant cette expérience, avez-vous appris quelque chose à propos de l’amour ? Oui, Dieu veut que tous ses enfants soient à la maison avec lui. Il me connaissait intimement et aime chacun d'entre nous de la même manière. Je n'avais aucune idée que je lui étais si chère et que mon travail ici-bas était si important.

Quels changements sont survenus dans votre vie à la suite de votre expérience ? De grands changements dans ma vie.

Après l'EMI :

Est-ce que l'expérience a été difficile à décrire avec des mots ? Oui, il n'y a pas de mots pour tout décrire. Ce que nous avons sur terre ici-bas n'est pas adéquat.

Avec quelle précision vous rappelez- vous de l'expérience comparativement à d'autres événements survenus au moment de l’expérience ? Je me souviens de l'expérience avec autant de précision que d'autres événements de la vie survenus à la même époque. J'ai tout écrit pour ne pas oublier, mais ne vous inquiétez pas, tout reste très clair.

À la suite de votre expérience, avez-vous acquis des habiletés médiumniques, hors de l'ordinaire ou d'autres dons spéciaux que vous n'aviez pas avant ? Incertain. J'explore cela. Cela ne fait qu'un mois.

Y-a-t-il une ou plusieurs parties de l'expérience qui soient particulièrement significatives pour vous ? Son amour intense pour moi.

Avez-vous déjà partagé cette expérience avec d'autres ? Oui. Mon mari et mes proches l'ont entendue tout de suite. Je ne pouvais pas m'empêcher d'en parler. J'étais assez euphorique à mon retour. Ils m'ont tous crue, mais j'ai pu dire qu'un ami s'est interrogé à mon sujet le lendemain lorsque je lui en ai parlé. Maintenant, je blogue et j'écris beaucoup, et communique aussi avec des gens que j'ai apparemment affectés. Beaucoup de : « Nous sommes si heureux que vous soyez toujours avec nous ».

Aviez-vous quelque connaissance à propos des expériences de mort imminente (EMI) avant cette expérience ? Incertain. J’avais lu l’ouvrage de John Burke, « Le Ciel » quelques années auparavant.

Qu'avez-vous pensé du réalisme de l'expérience que vous avez-vécue peu de temps (jours ou semaines) après qu'elle soit survenue ? L'expérience était définitivement réelle.

Que pensez-vous du degré de réalisme de l'expérience maintenant ? L'expérience était probablement réelle.

Est-ce qu'une partie de cette expérience s’est déjà reproduite dans votre vie, à quelque moment que ce soit de votre vie ? Non