EPM Kelly R
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DESCRIPTION DE L'EXPERIENCE :
J'avais juste eu mon 18e anniversaire après avoir perdu de façon inattendu ma grand-mère Polly en ce mois de mai. J'avais aussi juste fini l'école secondaire en juin 2015, et je prenais seulement quelques mois libres avant de commencer à l'école SPA. J'avais prévu de faire mon diplôme d'esthétique avancé en six mois après le commencement.
7 Janvier, 2016. C'était la première classe pour ce jour et mon copain (maintenant mari) me demandait si je pourrai le prendre au chemin de retour. Il était dans la maison de sa mère. Il faisait environ 20 degrés et il pleuvait légèrement. Je quittais l'école vers 8:30 du soir et avant de partir j'avais essayé mon GPS pour trouver le chemin de mon école vers la maison des parents de mon ami, mais mon GPS disait seulement 'l'adresse n'existe pas'. Puisque je connaissait la majorité du chemin et que j'avais 'l'appel mains libres avec Bluetooth' que j'irai aussi loin que possible et qu'il me dirigerai pour le reste. Quelque chose que nous avons fait à maintes occasions. Ce jour là, j'avais décidé de défriser mes cheveux, de porter un foulard 'infinity', et je portais un vieille jaquette North Face.
Je conduisais un modèle plus ancien Silver Hatchback Hyundai Elantra GT, et mon frein d'urgence était très branlante. J'étais juste à 2 miles de la sortie de Alum Creek et j'étais sorti à la mauvaise sortie, alors j'appelais mon ami au feu rouge. Je me rangeait dans le trafic, faisant environ 68 miles et je commençais à faire de l'aquaplaning, mon frein d'urgence montait soudain tandis que je faisais l'aquaplaning. Je perdais le contrôle de ma voiture et un instant après elle commençais à tourner. Je commençais juste de crier, de crier à mon ami au téléphone de m'aider. A chaque tour je pouvais voir les feux des voitures. Je me sentais impuissante, je tournais et tournais et ensuite ça s’arrêtait. Je ne tournais plus. Je jetais un regards à travers la fenêtre du conducteur et je savais que j'étais en diagonale sur la voie rapide du milieu de l'autoroute. Je voyais des grands feux s'approchant rapidement de moi .
Je me souvenais que quelqu'un avait dit, ou que j'avais lu, que si on est jamais dans un accident de voiture, de laisser simplement laisser le corps libre, de ne pas se crisper. Je me penchais en arrière dans mon siège, relâchais mon corps et je disais : »Mon Dieu ne me laisse pas mourir. » Honnêtement c'était comme un réflexe, je ne peux pas l'expliquer, c'était comme si mon corps savait quoi faire. Je peux encore ressentir la façon dont mon corps était bousculé dans la voiture comme une poupée de chiffon. Je peux encore entendre l'écrasement du métal, le verre se brisant, les klaxons, des gens qui m'injuriaient, criant, disant que je méritais de mourir, me disant de dégager ma voiture, que je suis une idiote, que je peux encore déplacer la voiture, tout est de ta faute. Mais rien, tout ce que je vois c'est de l'obscurité. C'était comme si je planais juste au-dessus de moi, mais je ne voyais que de l'obscurité.
Finalement, tout s'arrêtait, ma voiture s'arrêtait. Je commençais à ouvrir lentement mes yeux. Partout autour il y a du verre. J'avais été touché du coté du conducteur évitant à 2 - 4 pouces la porte. Ma porte était tordu vers l'intérieur, l'avant de la voiture était poussé vers l'intérieur, se pressant contre mes genoux et finalement je réalisais tout le sang qui coulait de ma tête sur mon visage. Je pouvais sentir le sang dans mes cheveux, couvrant mon visage, dégoulinant dans mon écharpe. Je voulais arracher mon écharpe de mon cou, mais j'avais trop peur de bouger. Il y avait un trou dans l'avant-bras droit de ma jaquette, que le liquide de l’airbag avait brûlé ainsi que mon poignet. A ce point j'avais besoin de sortir.
Je me sentais piégé, je ne pouvais pas ouvrir ma porte, mais ma fenêtre était cassée. Ilm y avait une Femme qui essayait de contourner ma voiture, si près que je pouvais voir qu'elle était au téléphone, mais je sortais ma tête sanglante par la fenêtre et je criais simplement : »Aidez-moi ! S.v.pl. Aidez-moi ! Aidez-moi ! Elle me regardait tout droit et continuait de me contourner avec sa voiture. C'est à ce moment que ça commençait pour moi, je me penchais en arrière et me disais : »Bien tu vas mourir ici. Tu vas mourir seule. Tes parents ne sauront rien, je ne sais même pas si mon copain a entendu quelque chose de ce qui vient d'arriver. » Je perdais toute confiance en l’humanité. C'est à ce moment que je remarquais un petit P sur mon poignet droit. Je réalisais que ma grand-mère Polly était là et me surveillait. Je réalisais que je n'étais pas seule.
J'étais juste assise dans la voiture pensant que c'était la fin. Mais ensuite un Homme venait en courant à ma voiture. Je commençais à le prier de ne pas me laisser mourir, ne me laissez pas mourir, aidez-moi. Il essaye de me calmer, il prend ma main et me dis de serrer, il me demandait calmement où j'allais à l'école, ce que je voulais apprendre à l'école, tout pour essayer de maintenir mon calme. Il commençais à regarder ma tête en disant 'oh, Non' et c'est quand la panique commençais. Un autre Homme avec un pied-de-biche essayait d'ouvrir ma porte. Deux autres hommes mettaient leurs trucks en diagonale pour que les voitures ne continuaient pas de passer à travers tous les débris. Ils sortaient de leur truck et ouvraient ma porte de passager, ils me sortaient et me portaient sur le côté de l'autoroute. Je frissonnais, je ne pouvais pas m'arrêter de frissonner.
Trois autres hommes sortaient de leur voiture en courant, faisaient une photo de moi et repartaient dans leur voiture. Alors plus de gens venaient et faisaient une barrière autour de moi pour me protéger. Finalement l'ambulance arrivait et ils me demandent où j'ai mal. Je leur parlais de mes genoux, du coté gauche de ma tête, de mon épaule gauche, et le haut de mon cou. Ils commencent à poser toute sortes de questions. Quel sorte de voiture que je conduis. Où je vis. Où je vais à l'école. Quel est mon nom. Je commence juste à répondre, encore et encore. Puis en une deux il me placent sur un brancard, me mettent un collier cervical et me roulent dans l'ambulance.
À ce point je continue seulement de demander ma mère ou pour que quelqu'un l'appelle. Ils me disaient que puisque j'avais 18 ans j 'étais considéré comme adulte et qu'ils devaient s'occuper de mes blessures et qu'ensuite ils allaient appeler quelqu'un pour moi. Ils m'amenaient à l'hôpital et tandis qu'ils me déposaient, les sauveteurs parlaient avec des infirmières des urgences et je les entendais dire que j'avais été heurté par un camion semi-remorque.
C'est la première fois que je réalise que les feux que j'avais vu n'étaient pas d'une simple voiture, mais d'un camion semi-remorque. Je posais même la question pour avoir plus de clarté si c'était une voiture ou un camion. Et l'infirmière de me dire : »Non, ma chérie tu as été heurté par un camion semi-remorque. » Je demandais à chaque personne s'ils voulaient bien appeler ma mère et ils me répondaient toujours Non, qu'ils devaient d'abord s'occuper de mes blessures. Ils m'emmenaient dans une chambre de l'urgence avec un vieil Homme nu sur une table et bondé d'internes et de nouveaux docteurs. Je sentais que mon tremblement me feraient tomber de la table en métal. Ils commençaient à couper mes vêtements. L'Homme à coté de moi détournait le regard, je sentais que j'aurai pu aussi bien être un cadavre avec la manière qu'ils avaient de me parler à peine en enlevant tout. Un des docteurs venait et me disait qu'il devait commencer à me poser trois agrafes et 13 points de suture dans la tête pour fermer la blessure. A ce point je savais qu'il devait faire son travail, mais j'en avais assez d'être seule, j'avais besoin de quelqu'un que je connaissais. Je lui disais qu'il devait au moins communiquer avec moi, pour que je sache avant qu'on me touche la tête et que quelqu’un aille appeler ma mère. Il me disait à quoi m'attendre et commençait à travailler sur ma tête. Je commençais à pleurer et il mettait une serviette en papier sur mes yeux, je suppose pour ne pas me voir pleurer. La seule infirmière qui me parlait vraiment enlevait la serviette, couvrit mon corps tremblant d’une couverture et me disait : « Je vais appeler ta mère. » Le téléphone était sur le haut-parleur et j’entendais ma mère dire que mon copain l'avait appelé lorsqu'il m'avait entendu crier, et qu'ils étaient tous dans l’hôpital à attendre. Finalement le soulagement arrivait et je perdais contenance. Je ne pouvais plus retenir mes larmes.
Finalement ils avaient fini mes sutures et me mettaient dans une salle de trauma. C'était environ midi et j'attendais d'être prête pour un nombre de scanners et de tests. Je devais rester couché totalement à plat jusqu'à ce que je commençais à avoir une crise de panique, alors ils me levaient de 15 degrés. Je n'avais pas droit à manger et boire, mais ils me donnaient de l'eau que je suçais d'éponges froides. Finalement ils laissaient revenir ma mère et mon père dans la chambre. Mon visage était encore ensanglanté, ils entraient en choc. Me regardant avec incrédulité, me promettant que tout ira bien, et qu'on arrangera tout. Maman commençait à enlever le sang de mon visage. On passait quelque temps ensemble et mes parents laissaient entrer mon ami pour me voir.
Il me racontait qu'il était assis dans le salon me donnant des instructions lorsqu'il m'entendait crier son nom et un nombre de claquements forts. Qu'il m'entendait crier et puis les bruits de l'accident . Le téléphone devenait silencieux, alors il appelait automatiquement mes parents pour leur faire savoir qu'il pensait que j'avais eu un accident. Puis il appelait ses parents que j'avais un accident et qu'ils devaient partir. Toute sa famille sautait dans la voiture et se dirigeait vers l'endroit de l'autoroute où il pensait que j'étais. A cause de l'accident l’autoroute était sécurisé pour environ 5 à 7 miles, alors ils quittaient l’autoroute et commençaient à chercher depuis les routes parallèles avec l'autoroute. Finalement ils voyaient ma voiture et ils courait en bas pour demander à un policier où ils m'avaient emmené. Ils lui disaient au Grant Hospital. Je suis si reconnaissante qu'il avait immédiatement appelé mes parents pour moi et venait ensuite à l'hôpital pour être là auprès de moi.
Ils me cherchaient pour des examens et en me ramenant me disaient que je devais rester dans la salle de trauma pour la nuit et que les résultats arriveraient le lendemain. J'avais une petite chaise près de mon lit et mon ami voulait rester près de moi. Il voulait dormir sur la chaise, mais il est assez grand alors il dormait sur le sol. Le lendemain matin on me mettait dans une chambre normale pour que toute ma famille puisse entrer dans la chambre ensemble. Les docteurs venaient avec les résultats des examens, j'avais du verre dans ma main, 13 sutures et trois agrafes dans la tête, le coup de lapin, une commotion cérébrale, des dommages aux nerfs des genoux et à mon épaule gauche, et la vertèbre C2 fracturé. Ils me disaient que la seule raison u'ils n'allaient pas m'opérer était à cause de mon âge, et qu'ils espéraient que cela guérirai seul. Les infirmières entraient et essayaient de laver le sang coagulé de mes cheveux, cela ne fonctionnait pas très bien et elles me faisaient un chignon. Avec les résultats des examens j'étais capable de m'assoir mais avec un collier cervical. Ma mère et mon ami se relayaient pour rester la nuit près de moi. Je restais pour trois nuits.
Chaque nuit il y avait une bataille avec les infirmières pour avoir mes anti-douleurs. Une nuit je me réveillais au milieu de la nuit avec une telle douleur et nous poussions le bouton de multiples fois. Ma mère sortait et voyait l'infirmière assis directement sous la lumière avec le bip-bip de mon bouton. Elle lui disait que j'avais besoin de mon médicament et que je ne devrai pas attendre si longtemps étant en douleur. Finalement je fus libéré de l'hôpital, sous des conditions strictes. Ne pas soulever quelque chose de plus de 5 livres, pas de conduite, n'enlever le collier cervical à aucun moment, ni pour dormir ni pour la douche. Nous devions voir les docteurs toutes les deux semaines pour contrôler l'état de mon cou et de ma tête. La nuit j'avais des difficultés de dormir. Je ne pouvais même pas me retourner. Ma mère dormait près de moi et me tournait si j'en avais besoin. Je devais faire une pause à l'école, et je perdais mon travail puisque j'avais raté beaucoup de jours. Je commençais à avoir du TSPT chaque fois que j'étais dans une voiture, surtout sur l'autoroute. Après sept semaines mes points de suture et les agrafes étaient finalement enlevés. Une telle douleur dans ma tête et après une heure ils étaient parti ! C'était un si grand pas. 14 longues semaines plus tard avec une autre visite chez le docteur il disait que le collier cervical ne pourrai plus servir. Qu'il enlèverai le collier le jour même, mais que je devais encore y aller doucement parce que mon cou prendrai encore une année pour guérir complètement.
Alors il a enlevé le collier et mon cou était tout mou, comme si je n'avais pas de cou comme si c'était de la gélatine. Après cela ils ne me donnaient plus d'instructions. C'était ma première nuit dormant seule, J'avais des cauchemars terribles et des raideurs, je n'arrivais pas du tout à dormir. Je savais que je devais obtenir de l'aide pour la part mentale, alors je voyais un thérapeute pour m'aider. Nous avons travaillé sur l’anxiété et le TSPT. Je rentrais à l'école et finissait finalement en octobre. Maintenant j'ai seulement encore des épisodes de TSPT dans la voiture et je peux remarquer les signes avant coureurs avant d'avoir la vision tunnel. Nous travaillons encore sur l’anxiété, mais nous sommes déjà loin !
Ceci m'a appris que si on voit quelqu'un qui a besoin d'aide, aidez-le(la). Soyez dans le moment et ne faites pas comme si ça n'existe pas, parce l'on ne sait jamais se qui peut arriver. Soyez reconnaissant pour ceux et ce que vous avez, car ce sont au moins ceux-là qui vont toujours être là pour vous. La dernière chose que j'ai appris était que, bien que j'étais physiquement seule, je sais que quelqu'un ou de multiples anges gardiens étaient avec moi et m'ont protégé cette nuit-la. Je suis reconnaissante à mon ami d'avoir appelé ma mère lorsqu'il entendait le bruit de l'accident, pour mes parents qui ont quitté leur maison au milieu de la nuit et allaient à ma recherche, pour les personnes qui venaient me visiter à l'hôpital et m'aidaient après, pour l'infirmière qui a appelé ma mère, pour les gens qui se sont arrêté et me sortaient de ma voiture, pour mes gardiens, et pour moi. Maintenant je fais de ce jour un jour de fête. Des fois c'est difficile, des fois c'est même difficile les autres jours, mais avec chaque jour vient la croissance. Les gens disent que Dieu donne ses batailles les plus dures aux personnes les plus fortes et je suis reconnaissante pour cela aussi.
Renseignements généraux:
Genre: Femme
La date à laquelle la EMI est survenue: January 07, 2016
Éléments de l'EMI:
Au moment de votre expérience, y avait-il un événement qui menaçait votre vie? No. Accident Blessures à la tête. Evénement mettant la vie en danger, mais pas de mort clinique.
Accident. Blessures à la tête. Evénement mettant la vie en danger, mais pas de mort clinique.
Comment considérez-vous la teneur de votre expérience? Entièrement désagréable
Vous êtes vous senti séparé de votre corps? Non
Je perdais la perception de mon corps
Quel était votre degré de conscience et de vivacité durant cette expérience comparativement à celui que vous avez au quotidien en temps normal? PLus de conscience et de vivacité que normal Il semblait beaucoup plus accordé. Comme si mon corps savait quoi faire avant que je ne le faisais. Ma main avait même d'une manière couvert mon visage lorsque ma tête heurtait la fenêtre, et elle protégeait mon visage de recevoir des morceaux de verre.
Durant votre expérience, à quel moment étiez-vous au maximum de votre conscience et vivacité? Lorsque je perdais le contrôle de ma voiture et elle commençais à tourner. Quand je regardais dehors et je voyais des feux de voiture venant vers moi.
Est-ce que vos pensées allaient rapidement? Incroyablement vite
Est-ce que le temps vous a paru s'accélérer ou ralentir? Tout semblait se passer à la fois; ou le temps s'arrêtait ou perdait toute signification
Tout semblait se passer au ralenti. Comme avec ta caméra au ralenti, mais je savais que tout allait beaucoup plus vite.
Est-ce que vos sens étaient Plus vifs que d'habitude? Incroyablement plus vifs
Est-ce que votre vision était différente de ce qu’elle est en temps normal? Je sentais comme si je voyais tout tellement lentement, tandis que je savais que cela arrivait tellement vite.
Est-ce que votre ouïe était différente de ce qu’elle est en temps normal? C'était un son sourd ou comme étant à une certaine distance. Comme si j'étais sous l'eau et que tout était au-dessus de moi.
Avez-vous eu l'impression d'être conscient de choses se déroulant ailleurs? Non
Êtes vous passé à travers un tunnel? Non
Avez-vous vu des êtres dans votre expérience? J'ai senti leur présence
Avez-vous rencontré ou été conscient de la présence d'êtres décédés ou encore vivants? Oui Ma Grand-mère que je venais de perdre.
Avez-vous vu ou vous êtes-vous senti entouré par une lumière brillante? Un endroit inconnu et étrange
Avez-vous vu une lumière qui ne vous semblait pas d'origine terrestre? Non
Avez-vous eu l'impression d'entrer dans un autre monde Non terrestre? Non
Quelles émotions avez-vous ressenties durant l'expérience? J'étais totalement terrifiée. Je laissais tomber mes mains, me penchais en arrière, fermais les yeux et disais « Mon Dieu ne me laisse pas mourir. »
Avez-vous eu une sensation de paix ou de réconfort? Non
Avez-vous eu un sentiment de joie? Non
Avez-vous eu l'impression d'être en harmonie ou d'être uni avec l'Univers? Non
Avez-vous eu l'impression de soudainement tout comprendre? Non
Est-ce que des scènes de votre passé vous sont revenues? Mon passé est apparu en un clin d'oeil, hors de mon contrôle
Est-ce que des scènes de votre avenir vous sont apparues? Non
Êtes-vous arrivé à une frontière ou à un point de Non-retour? J'ai atteint une barrière que l'on ne me permettait pas de dépasser; ou j'étais renvoyé contre ma volonté
Dieu, Spiritualité et Religion:
Quelle était votre religion avant cette expérience? Chrétienne- Catholique
Est-ce que vos pratiques religieuses ont changé depuis cette expérience? Yes Je sais maintenant qu'il y a vraiment des gens la-haut qui veillent sur toi.
Quelle est votre religion maintenant? Chrétienne- Catholique
Est-ce que cette expérience comportait des éléments en accord avec vos croyances terrestres? Un contenu qui était complètement en accord avec les croyances, que vous aviez à l'époque de votre expérience.
Est-ce que vos valeurs et croyances ont changé à la suite de cette expérience? Non
Avez-vous eu l'impression de rencontrer un être mystique ou une présence, ou d'entendre une voix Non identifiable? J'ai rencontré un être précis, ou une voix, clairement mystique ou d'origine Non terrestre
Avez-vous rencontré des êtres durant votre expérience? J'ai senti leur présence
Avez-vous rencontré ou été conscient de la présence d'êtres qui ont vécu auparavant sur la terre et qui portent des noms religieux ? (par exemple: Jésus, Muhammad, Buddha, etc) Oui Voir plus haut.
Durant votre expérience, avez-vous acquis de l'information à propos d'une vie antérieure? Oui Toute la situation.
Durant cette expérience, avez-vous acquis de l'information sur une connexion universelle? Non
Durant votre expérience, avez-vous acquis de l'information sur l'existence de Dieu? Oui Quelqu'un a dû être la-haut si j'ai survécu à cela !
Concernant nos vies terrestres en dehors de la religion:
Durant votre expérience, avez-vous acquis une connaissance ou de l'information à propos de vos objectifs de vie? Non
Durant l'expérience, avez vous reçu de l'information quant au sens de la vie? Non
Au cours de votre expérience, avez-vous obtenir des informations sur l'au-delà? Un au-delà existe définitivement Non
Avez-vous appris comment vivre nos vies? Non
Durant votre expérience, avez-vous acquis de l'information à propos des difficultés, défis et obstacles de la vie? Non
Durant cette expérience, avez-vous appris quelque chose à propos de l'amour? Oui Lorsque l'infirmière appelait finalement ma mère, et mon ami tout le temps et comment il traitait toute cette chose.
Quels changements sont survenus dans votre vie à la suite de votre expérience? De grands changements dans ma vie
Est-ce que vos relations ont changé précisément à cause de cette expérience? Oui Je réalisais qui sera vraiment là pour moi à traverser les temps durs et qui est seulement là pour le plaisir.
Apres l’EMI :
Est-ce que l'expérience a été difficile à décrire en mots? Oui Je ne peux pas expliquer le sentiment.
Avec quelle précision vous rappelez-vous de l'expérience comparativement à d'autres événements au moment de l'expérience? I Je me souviens plus exactement de l'expérience que des autres événements qui eurent lieu autour du temps de l'expérience
À la suite de votre expérience, avez-vous acquis des habiletés médiumniques, hors de l'ordinaire ou d'autres dons spéciaux que vous n'aviez pas avant? Non
Est-ce qu'il y a une ou plusieurs parties de l'expérience qui sont particulièrement significatives pour vous? Je suis reconnaissante d'avoir entendu la voix de ma mère dans le haut-parleur et de réaliser que je passerai le reste de ma vie avec l'Homme qui faisait que ma mère vienne à l'hôpital, et qui ne quittait pas mon coté tout le temps, c'étaient définitivement mes meilleurs moments.
Avez-vous déjà partagé cette expérience avec d'autres? Oui Cela les rendait triste pour moi et ils sont habituellement choqué que j'étais heurté par un camion semi-remorque. Ça m'a aidé pour aller mieux en le racontant à des gens.
Aviez-vous quelque connaissance à propos des expériences de mort imminente (EMI) avant cette expérience? Non
Qu'avez-vous pensé du réalisme de l'expérience que vous avez-vécue peu de temps (jours ou semaines) après qu'elle soit survenue? L'expérience était définitivement réelle J'étais en douleur et je me demandais pourquoi ceci m'est arrivé ou ce que j'aurai pu faire de différent pour changer le résultat.
Que pensez-vous du degré de réalisme de l'expérience maintenant? L'expérience était définitivement réelle J'accepte le fait que je ne peux rien changer de ce qui est arrivé, et que je n'aurai pas pu y changer quelque chose. Alors je dois être libre et de pouvoir juste en parler.
Est-ce qu'une partie de cette expérience a déjà été reproduite dans votre vie? Oui L'histoire vient souvent sur le tapis. Spécialement avec des membres de famille qui demandent comment je vais. C'est mieux pour moi d'en parler que d'essayer de l'oublier.