EMI de Wayne H
|
DESCRIPTION DE L'EXPERIENCE :
CECI MONTRE L’INTEGRATION DANS LA REALITE DE L’EVEIL
Deuxième récit 14 mois plus tard
Mon
Expérience de Mort Imminente en 1996
J’étais à pied et je poussais un véhicule de handicapé lorsque celui-ci a été
percuté par l’arrière. Je me trouvais entre la voiture et l’impact qui a été si
violent que le châssis des deux véhicules a été tordu. J’ai repris connaissance
sur un brancard aux Urgences. Je savais que j’allais mourir et je me réjouissais
d’être libéré de la douleur. A cause de mon éducation religieuse (Baptiste du
sud des USA), je m’attendais à être Accueilli par un homme en toge blanche assis
sur un trône d’or. A ma mort il y a eu cessation de toute sensation, l’obscurité
s’est resserrée, la lumière se réduisant à un point minuscule. Je me suis senti
tomber en arrière dans le noir et j’ai subi un vent froid. J’ai senti que je me
retournais, un minuscule point de lumière est apparu dans l’obscurité. Je suis
sorti dans la lumière, je me trouvais dans l’angle supérieur de la salle
d’urgences, avec une vue plongeante sur mon corps étendu sur le brancard. Je
n’étais pas perturbé par le fait d’être mort ou de voir mon corps sur la
civière. J’étais dans un état d’euphorie avec un parfait sentiment de paix et
d’existence. Je ne ressentais pas de douleur, pas de besoin d’aucune sorte.
J’avais la sensation d’être à ma place. J’ai décelé une présence derrière moi,
puis j’ai entamé une communication. C’était au delà de la télépathie. Il ne
s’agissait pas d’entendre les paroles dans mon esprit pour les traduire ensuite
en pensées, c’était savoir à l’identique de l’autre présence, un partage
instantané de la connaissance. Poser des questions ou voir quoi que ce soit ne
m’intéressait pas, j’étais totalement en paix. On m’a alors fait comprendre que
je devais repartir. A ce moment là, j’ai ressenti mon premier besoin, le désir
de rester. Je voulais savoir pourquoi je devais partir. Le mur au delà de mon
brancard est devenu transparent et on m’a montré ce qui paraissait être un
fleuve qui s’écoulait. Il était argenté et scintillait en coulant. Chacune des
gouttes de cette rivière était d’une couleur différente, pourtant elles
s’écoulaient ensemble, telles un unique corps aquatique. Rien ne m’a donné
l’impression qu’il s’agissait effectivement d’eau ou d’un fleuve, mais c’est le
meilleur exemple de descriptif que je puisse fournir, pour une chose que j’ai
vue et pour laquelle il n’existe aucun mot. Le corps principal du flot était
constitué de lumières argentées scintillantes, avec des gouttes de différentes
couleurs dans ce flot. J’ai compris (j’utilise ce terme parce qu’en fait je n’ai
rien entendu) que les gouttes colorées étaient les expériences de tout ceux qui
ont vécu. Les expériences existaient en tant qu’éléments séparés, appartenant
cependant au tout. Le tout constituait le savoir collectif de tous. J’ai compris
qu’il n’existe pas d’individus, si ce n’est un seul, pourtant chaque expérience
était individuelle et constituait le tout. Ce concept de l’UNIQUE est tellement
étranger à toute description que je pourrais fournir, il semble ne pas exister
de moyen pour le décrire. Auparavant je comprenais l’UNIQUE comme une unicité
simple. Dans ce cas, l’UNIQUE est autre chose. Le multiple constituant l’UNIQUE
et l’UNIQUE étant multiple, les deux existant conjointement dans le même temps
et le même espace. J’ai ensuite compris que les expériences collectives
constituent l’omniscience. Tout ce qui a été exprimé, entendu, vécu. Ces gouttes
colorées contenaient chaque expérience, jusqu’au souvenir de chaque division
cellulaire, de chaque pensée. Toutes les expériences étaient connues
simultanément par la conscience collective que constituait le fleuve. Chaque
expérience pouvait être connue comme s’il s’agissait d’un vécu à la première
personne, se produisant au moment où il était survenu initialement. C’est alors
qu’on m’a fait comprendre pourquoi il n’existait pas d’homme sur un trône en or
qui allait me juger. J’ai vécu, à la première personne, l’expérience de celui
qu’on appelle « Jésus ». J’ai vécu toute sa vie (rappelez-vous que le temps
n’existe pas). Son nom n’était pas Jésus, plutôt quelque chose comme Josephus.
Il a eu un père et une mère normaux, aucune intervention divine. Sa naissance a
été difficile et à cette occasion il a vécu une EMI. A cause de son expérience
de mort imminente, son enfance a été difficile, il en savait trop. Lorsqu’il a
été plus âgé, il a commencé à raconter son expérience aux autres. Il leur a dit
de ne pas craindre la mort car ils allaient vivre éternellement. Il leur a dit
qu’après la mort existait une paix parfaite et un état d’amour parfait. Il leur
a dit que tous étaient exactement semblable, que chacun pouvait savoir qui il
était réellement, s’éveiller à son moi spirituel. Il a attiré un petit groupe
d’adeptes. Après quelques temps, certains de ses disciples ont voulu constituer
une religion et remplacer les prêtres juifs, à cause de l’argent et du pouvoir.
Il a jeté les marchands de pouvoir hors de sa suite. Cinq d’entre eux ont
conspiré contre lui. A son procès, il avait trois témoins à charge, tous avaient
été ses adeptes. Il a été pendu (pas crucifié, pour les Romains il n’était qu’un
criminel insignifiant). Etant pressés, les Romains l’ont décroché un peu
rapidement, ses adeptes fidèles ont emmené le corps. Il s’est ranimé en faisant
une seconde expérience de mort imminente (son « retour » pour ainsi dire). Il a
vécu quelques temps en se cachant de ses 5 ex-amis et traîtres (l’antéchrist ?),
mais il est mort de ses blessures après quelque temps.
Je
n’éprouvais ni crainte ni joie à l’égard de ce fleuve. J’utilise le terme
rivière de la vie pour le décrire. De la rivière de la vie émanait une
compréhension de paix, bonheur et contentement complets sans besoin ni désir.
J’ai alors ressenti un fort désir de rejoindre la rivière de la vie, je sentais
que c’était ma place, là d’où je venais. Toucher la rivière m’a donné un aperçu
sur des royaumes au delà des royaumes, sur des univers au delà des univers, sur
des dimensions au delà des dimensions ; j’ai fait l’expérience de l’infini. On
m’a montré une longue file d’expériences dans d’autres royaumes de réalité, sur
d’autres mondes. Quelque temps plus tard j’ai réalisé qu’il s’agissait du
passage en revue de mes « vies » passées, de toutes les existences dont j’avais
fait partie. Il y avait des êtres et des objets différents de tout ce que j’ai
jamais vu ou dont j’ai entendu parler, même dans l’imagination des auteurs de
science fiction que j’ai lus. On m’a fait savoir qu’il y avait un nombre infini
de royaumes d’existence, que tous faisaient partie de l’UNIQUE, la Source. Le
fleuve comportait des couches ou niveaux distincts qui n’étaient pas séparés pas
une quelconque sorte de barrière, chacun paraissait plutôt d’une densité
différente. Celui dont j’ai fait l’expérience était au niveau le plus élevé. A
ma mort, je suis d’abord arrivé au niveau le plus bas ; je l’appelle « endroit
intermédiaire » ou « niveau le plus bas de transition ». Ce fleuve de conscience
et de connaissance constitue ce qu’on pourrait désigner comme « l’esprit de
Dieu ». J’ai compris que je ne devais pas rejoindre la rivière de la vie à ce
moment là, je devais repartir. En comprenant cela, j’ai commencé à éprouver des
craintes, à me poser des questions. J’ai réaffirmé que je ne voulais pas partir.
J’ai réalisé qu’il me fallait partir. On m’a ensuite fait comprendre que
j’allais beaucoup souffrir. Je ne voulais pas être confronté à la douleur qui
m’attendait. J’ai compris que la douleur allait être forte, qu’elle allait me
changer, me modeler. Je voulais en connaître la raison et aussi ce que je devais
faire. J’ai été inondé par deux sensations, l’une suivant l’autre. La première
étant qu’une bonne action apportait un bref moment de la paix total et du
réconfort que je venais de vivre. L’autre étant qu’une mauvaise action amenait
une mauvaise sensation, par un assombrissement de la lumière et un
refroidissement. A ce moment là, la lumière a diminué et je me suis senti tomber
en arrière dans l’obscurité. J’ai subi un vent froid, j’ai senti que je
tournais. Il y avait un minuscule point de lumière dans le noir, j’ai à nouveau
émergé dans la lumière, sur le brancard et dans mon corps. Au cours des 30
heures suivantes, je suis resté inconscient la plupart du temps et j’ai subi une
opération. Des membres de ma famille m’ont appris que je suis mort à nouveau,
mais je n’ai pas vécu d’autre expérience.
Premier récit
J’ai repris connaissance sur
un brancard en salle d’urgences. Je savais que j’allais mourir et je me
réjouissais d’être libéré de la douleur. A cause de mon éducation religieuse
(Baptiste du sud des USA), je m’attendais à être Accueilli par un homme en toge
blanche assis sur un trône d’or. A ma mort il y a eu cessation de toute
sensation, l’obscurité s’est resserrée, la lumière se réduisant à un point
minuscule. Je me suis senti tomber en arrière dans le noir et j’ai subi un vent
froid. J’ai senti que je me retournais, un minuscule point de lumière est apparu
dans l’obscurité. Je suis sorti dans la lumière, je me trouvais dans l’angle
supérieur de la salle d’urgences, avec une vue plongeante sur mon corps étendu
sur le brancard. Je n’étais pas perturbé par le fait d’être mort ou de voir mon
corps sur la civière. J’étais dans un état d’euphorie avec un parfait sentiment
de paix et d’existence. Je ne ressentais pas de douleur, pas de besoin d’aucune
sorte. J’avais la sensation d’être à ma place. J’ai décelé une présence derrière
moi, puis j’ai entamé une communication. C’était au delà de la télépathie. Il ne
s’agissait pas d’entendre les paroles dans mon esprit pour les traduire ensuite
en pensées, c’était savoir à l’identique de l’autre présence, un partage
instantané de la connaissance. Poser des questions ou voir quoi que ce soit ne
m’intéressait pas, j’étais totalement en paix. On m’a alors fait comprendre que
je devais repartir. A ce moment là, j’ai ressenti mon premier besoin, le désir
de rester. Je voulais savoir pourquoi je devais repartir. Le mur au delà de mon
brancard est devenu transparent et on m’a montré ce qui paraissait être un
fleuve qui s’écoulait. Il était argenté et scintillait en coulant. Chacune des
gouttes de cette rivière était d’une couleur différente, pourtant elles
s’écoulaient ensemble telles un unique corps aquatique. Rien ne m’a donné
l’impression qu’il s’agissait effectivement d’eau ou d’un fleuve, mais c’est le
meilleur exemple de descriptif que je puisse fournir, pour une chose que j’ai
vue et pour laquelle il n’existe aucun mot. Le corps principal du flot était
constitué de lumières argentées scintillantes, avec des gouttes de différentes
couleurs dans ce flot. J’ai compris (j’utilise ce terme parce qu’en fait je n’ai
rien entendu) que les gouttes colorées étaient les expériences de tout ceux qui
ont vécu. Les expériences existaient en tant qu’éléments séparés, appartenant
cependant au tout. Le tout était le savoir collectif de tous. J’ai compris qu’il
n’existe pas d’individus, si ce n’est un seul, pourtant chaque expérience était
individuelle et constituait le tout. Ce concept de l’UNIQUE est tellement
étranger à toute description que je pourrais fournir, il ne semble pas exister
de moyen pour le décrire. Auparavant je comprenais l’UNIQUE comme une unicité
simple. Dans ce cas, l’UNIQUE est autre chose. Le multiple constituant l’UNIQUE
et l’UNIQUE étant multiple, les deux existant conjointement dans le même temps
et le même espace. J’ai ensuite compris que les expériences collectives
constituent l’omniscience. Tout ce qui a été exprimé, entendu, vécu. Ces gouttes
colorées contenaient chaque expérience, jusqu’au souvenir de chaque division
cellulaire, de chaque pensée. Je n’éprouvais ni crainte ni joie à l’égard de ce
fleuve. J’utilise le terme rivière de la vie pour le décrire. De la rivière de
la vie émanait une compréhension de paix, bonheur et contentement complets
sans besoin ni désir. J’ai alors ressenti un fort désir de rejoindre la rivière
de la vie, je sentais que c’était ma place, là d’où je venais. Toucher la
rivière m’a donné un aperçu sur des royaumes au delà des royaumes, sur des
univers au delà des univers, sur des dimensions au delà des dimensions ; j’ai
fait l’expérience de l’infini. Certains éléments se sont produits à ce moment
là, je ne peux pas encore les raconter. Ce fleuve de conscience et de
connaissance constitue ce qu’on pourrait désigner comme « l’esprit de Dieu ». Je
vais raconter cette partie que je n’ai divulguée sur aucun forum ; je n’ai pas
eu de « passage en revue de la vie », j’ai revu des « vies passées dans d’autres
existence ». Il s’agissait d’états d’existence au delà de tout ce que j’aurais
pu imaginer. J’ai compris que je ne devais pas rejoindre la rivière de la vie à
ce moment là, je devais repartir. En comprenant cela, j’ai commencé à éprouver
des craintes, à me poser des questions. J’ai réaffirmé que je ne voulais pas
partir. J’ai réalisé qu’il me fallait partir. On m’a ensuite fait comprendre que
j’allais beaucoup souffrir. Je ne voulais pas être confronté à la douleur qui
m’attendait. J’ai compris que la douleur allait être forte, qu’elle allait me
changer, me modeler. Je voulais en connaître la raison et aussi ce que je devais
faire. J’ai été inondé par deux sensations, l’une suivant l’autre. La première
étant qu’une bonne action apportait un bref moment de la paix total et du
réconfort que je venais de vivre. L’autre étant qu’une mauvaise action amenait
une mauvaise sensation par un assombrissement de la lumière et un
refroidissement. A ce moment là, la lumière a diminué et je me suis senti tomber
en arrière dans l’obscurité. J’ai subi un vent froid et j’ai senti que je
tournais. Il y avait un minuscule point de lumière dans le noir, j’ai à nouveau
émergé dans la lumière, sur le brancard et dans mon corps. Au cours des 30
heures suivantes, je suis resté inconscient la plupart du temps et j’ai subi une
opération. Des membres de ma famille m’ont appris que je suis mort à nouveau,
mais je n’ai pas vécu d’autre expérience.
Ce
type d’expérience était-il difficile à exprimer avec des mots ?
Oui . Des éléments de l’expérience n’ont pas de
référence commune avec la réalité actuelle de l’existence humaine.
Au
moment de l’expérience y avait-il une situation menaçant votre vie ?
Oui . J’ai été percuté par une voiture alors que j’étais
piéton. Je me noyais dans mon propre sang.
A
quel moment de l’expérience étiez-vous au niveau de conscience et de lucidité le
plus élevé ?
En touchant la « rivière de la vie ».
Comparez votre niveau d’état conscience et de lucidité maximum pendant
l’expérience et votre état de conscience et lucidité habituel de tous les jours
? Plus
conscient et lucide que d’habitude
Si
votre niveau d’état de conscience et de lucidité maximum pendant l’expérience
était différent de votre état de conscience et de lucidité de tous les jours,
veuillez préciser :
Je savais sans nécessiter de perception.
Votre vue était-elle différente d’une manière quelconque de votre vue de tous
les jours (pour tous les aspects tels que clarté, champ de vision, couleurs,
luminosité, degré profond de perception de la massivité/transparence des objets,
etc.) ?
Oui . La vision était la même, mais plusieurs années
plus tard je me suis finalement rendu compte qu’au cours de l’expérience il n’y
avait aucune ombre. Il n’y avait pas de « vue » réelle car je ne possédais pas
d’yeux, je « savais » cependant ce qu’était chaque chose.
Votre ouïe différait-elle de manière quelconque de votre audition normale (pour
tous les aspects tels que clarté, capacité à identifier la source sonore,
hauteur, force, etc.) ?
Non
Avez-vous vécu une séparation de votre conscience et de votre corps ?
Oui
Quelles émotions ressentiez-vous pendant l’expérience ?
Euphorie
Etes-vous passé(e) dans ou avez-vous traversé un tunnel ou un espace fermé ?
Oui
Avez-vous vu une lumière ?
Non
Avez-vous rencontré ou vu d’autres êtres ?
Indécis. Passage en revue de vies passées dans d’autres
royaumes d’existence.
Avez-vous observé ou entendu, pendant votre expérience, quelque chose
concernant des personnes ou des évènements et qui a pu être vérifié par la suite
? Non
Avez-vous vu ou visité des lieux, niveaux ou dimensions admirables ou
remarquables ?
Oui . Le « Fleuve conscient cosmique ».
Avez-vous eu le sentiment d’une modification de l’espace ou du temps ?
Oui . Le temps n’existait pas.
Avez-vous eu le sentiment d’avoir accès à une connaissance particulière, à un
but et / ou à un ordre de l’univers ?
Oui . Cela ne doit pas être dévoilé pour le moment.
Avez-vous atteint une limite ou une structure physique de délimitation ?
Oui . Il y avait une séparation entre le fleuve de
conscience et « l’endroit intermédiaire », j’ai traversé la limite et j’ai fait
l’expérience de l’infini.
Avez-vous eu connaissance d’évènements à venir ?
Non
Suite à votre expérience, avez-vous eu des dons spéciaux, paranormaux, de
voyance ou autre, que vous n’aviez pas avant l’expérience ?
Oui . « L’intuition » ou capacité à recevoir directement
depuis la Source.
Avez-vous raconté cette expérience à d’autres personnes ?
Oui . Environ un an avant le premier récit. La personne
m’a simplement remercié pour lui avoir appris qu’il existe quelque chose
« après » la vie.
Connaissiez-vous les expériences de mort imminente (EMI) avant votre expérience
? Non
Comment considériez-vous la réalité de votre expérience peu après qu’elle ait eu
lieu (quelques jours ou semaines) :
L’expérience était tout à fait réelle. Je savais que
c’était absolument réel, que cela s’est produit. Je savais que je ne pouvais pas
mourir car ce n’était pas mon heure, même si pendant une semaine les médecins
ont pronostiqué que j’allais mourir. Je n’ai jamais remis en cause la réalité de
cette expérience.
Y
a-t-il eu une ou plusieurs parties de l’expérience particulièrement
significative(s) ou avec une valeur particulière pour vous ?
Ma conscience générée-par-mon-cerveau voulait découvrir
pourquoi mon expérience de la mort était différente des prévisions religieuses.
Afin d’en comprendre la raison, au cours de la période où ma conscience
spirituelle a touché la rivière de la vie, ma conscience générée-par-mon-cerveau
a vécu l’expérience à la première personne d’un personnage biblique.
Comment considérez-vous actuellement la réalité de votre expérience:
L’expérience était tout à fait réelle. Cette expérience
est aussi nette aujourd’hui que lorsqu’elle s’est produite. Le savoir est tout
simplement là.
Vos relations ont-elles changé spécifiquement à cause de votre expérience ?
Oui . Je n’étais plus la même personne. La plupart de
mes amis m’ont abandonné, j’ai fini par divorcer.
Vos croyances/pratiques religieuses ont-elles changé spécifiquement à cause de
votre expérience ?
Oui . Je ne suis plus baptiste du sud des USA, la
religion n’a que très peu d’utilité pour moi.
Après l’expérience, d’autres éléments dans votre vie, des médicaments ou des
substances ont-ils reproduit une partie de l’expérience ?
Non
Les questions posées et les informations que vous venez de fournir
décrivent-elles complètement et avec exactitude votre expérience ?
Oui