EMI Probable de William S
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Description de l’expérience:
A l’âge de cinq ans: Je me souviens que notre famille vivait à Bartow, en Floride sur une propriété appartenant à mon grand-père. Je me souviens avoir contracté une maladie de l'enfance et ma mère me mettant au lit. On m'avait couché sur un petit lit près d'une fenêtre orientée au sud avec la lumière du soleil en continu à travers le verre et jetant une lueur brillante sur le sol.
Je me sentais très faible et fatigué et je gisais là en regardant les particules de poussière danser dans la lumière. Je faisais plus particulièrement attention à la couleur des particules de poussière en suspension. J'ai noté qu'elles semblaient d'une couleur argentée qui finalement tournait au doré. La lueur dorée commençait à remplir la salle avec son éclat. En un instant, je me suis retrouvé dehors debout dans notre arrière-cour au bord de l'orangeraie. Je n'avais aucune idée que mon corps était encore dans le lit à l'intérieur de la maison. Je me suis regardé et j'avais mon corps naturel d'un garçon de cinq ans. De mon point de vue, rien ne semblait inhabituel; j'avais été dans notre arrière-cour à plusieurs reprises et il n'y avait rien d'inhabituel à ce moment-là.
Pendant que je commençais à regarder aux alentours, j'ai remarqué quelque chose au milieu de l'orangeraie qui n'aurait pas dû s'y trouver. Au milieu du bosquet, une grande montagne s'élevait, avec de belles marches incrustées montant vers les cieux. Ce spectacle magnifique a captivé mon attention, et je devais explorer ce décor fascinant.
En un instant, je me suis retrouvé au pied de la montagne et j'ai commencé à monter les escaliers. Au fur et à mesure que je montais vers le haut, j'ai vu le sommet du pic et observé un spectacle des plus remarquables. Un ensemble de faisceaux lumineux coulait de la partie supérieure. Ils remplissaient le ciel étoilé de la plus belle lumière. J'ai été tellement captivé par ce spectacle que tout ce que je voulais faire était de monter vers le haut et rejoindre la lumière.
Pendant que je montais, j'ai remarqué que des gens étaient positionnés sur chacune des marches. Ils étaient vêtus de beaux vêtements fluides qui changeaient constamment de couleur. Ces gens étaient beaux à regarder, mais pâlissaient en comparaison à la lumière rayonnante au-dessus d’eux. Je sentais que je devais atteindre cette lumière. Quand je suis arrivé à mi-parcours sur mon chemin, les gens ont formé une barrière en forme de V, qui a bloqué mon avancée.
Au sommet de cette configuration, un homme est sorti de la formation, se tournant vers moi. Il m'a regardé et m'a dit que je devais faire demi-tour et retourner d'où je venais. Je lui ai dit que je ne voulais pas repartir en arrière. Je voulais aller au sommet de la montagne et dans la lumière. Encore une fois, il a remarqué que je devais retourner à l'endroit d'où je venais. Je suis devenu frustré et j’ai essayé de passer à travers ses jambes. Mais il connaissait mes intentions et a bloqué mon passage. Très fermement, l'homme a fait remarquer qu'il n'était pas encore temps pour moi de rester là-bas, que je devais retourner d'où je venais. Avec une profonde tristesse, j'ai descendu les escaliers. Au bas de l'escalier, j'ai regardé à nouveau en haut vers la lumière. Je voulais tellement être avec cette lumière.
A l’âge de dix ans: Samedi 19 octobre, 1957 ma famille, de concert avec la famille Gresham, a décidé d'organiser une fête d'anniversaire tardive en mon honneur au parc Lake Jackson State Park. Ce parc est situé en dehors des limites de la ville de Lake Jackson, au Texas.
Le temps était magnifique et tous les enfants s'amusaient énormément d'être en liberté dans le parc. Auparavant, nos parents nous avaient avertis de rester loin de la route principale qui coupait à travers le parc. Nous avons tous promis à nos parents que nous n'irions pas près de la route. Nous sommes allés dans le parc explorer tout ce qui attirait notre attention. Après un certain temps, nous nous sommes retrouvés près de la route contre laquelle on nous avait mis en garde. Quelqu'un du groupe a suggéré que nous devrions ramper à travers un grand tuyau de drainage situé sous la chaussée. On est tombé d'accord et on a commencé à ramper à travers.
Nous avons tous fait le déplacement à travers le tuyau sans incident. Cependant, sur mon chemin, j'ai aperçu une araignée qui m'a fait peur. J'avais peur des araignées, ma mère nous ayant souvent dit à l'époque, à nous les enfants, qu'elle avait été mordue par une araignée dite "veuve noire". Nous sommes restés de l'autre côté de la route pendant quelques minutes et avons décidé de retraverser à travers le tuyau. Les autres enfants ne partageaient pas mes préoccupations au sujet de l'araignée et c'est sans effort qu'ils ont réempruntés ce passage.
Je savais que si je courrais à travers la route, je pouvais arriver de l'autre côté avant les autres. Je pensais que ce plan d'action était approprié puisque que je craignais de ramper à travers un tuyau infesté d'araignées. J’ai bondi sur la route sans regarder la circulation. Bam! J'ai été heurté sur le côté gauche de mon corps par une force si puissante qu'en un instant, j'ai quitté ce monde. L'instant où j'ai été frappé, mon champ de vision a cessé d’être rempli d'arbres et du ciel avec de beaux nuages, pour virer à une lumière complètement blanche. Mon monde a chaviré du naturel au divin en un instant.
Après l'accident, je suis revenu à moi, pour entendre les sanglots de mes amis et de ma famille. Et en route vers l'hôpital, j'ai repris conscience dans l'ambulance le temps de noter l'inquiétude qui se peignait sur le visage de ma mère. Ces prises de conscience à plusieurs reprises m'ont fourni une série séquentielle d'événements qui sont restés avec moi, même quand j'étais dans le monde de la lumière blanche. Cette série d'événements m'a gravé dans l'esprit que ma famille m'aimait. Jusqu'à l'accident, mes frères étaient méchants et cruels vis à vis de moi et je sentais qu'ils ne voulaient pas de moi dans la famille.
Plus tard, j'ai appris que j'étais dans le coma pendant onze jours et pendant ce temps je suis resté avec la lumière. Je me sentais complet et chez moi là-bas. Ce n'était pas un endroit statique, il y avait beaucoup d'activités. Je savais que j'étais aimé et chéri. Certains peuvent penser que ma description enfantine de l'endroit où se trouvait la lumière représente le lieu de repos final de l'âme. Pas du tout! Je suis finalement revenu à ma vie et ma famille, sachant qu'un jour je retournerais dans la splendeur de la lumière.
À l'âge de 44 ans: je vivais et travaillais dans la région de Fort Worth, au Texas depuis à peu près un an. Je me divertissais pendant le week-end en allant jusqu'à l'aérodrome local pour des exercices de pilotage. Ayant déjà plus d'une centaine d'heures de vol, je me suis senti assez confiant dans ma capacité à manier un Cessna 152. Cela avait été l'appareil privilegié pour la pratique. C'était la fin du mois de mars et le temps était encore frais et agréable pour le nord du Texas. Je préfère voler quand l'air est plus frais, car il est plus dense et soutient mieux l'appareil. Mon travail était un arrangement 4-10, soit des journées de dix heures de travail quatre jours par semaine. Cela signifiait que nous étions libres le vendredi et j'aimais avoir plus de temps pour voler. Je suis descendu à l'aérodrome vers 9h00 et j'ai loué l'un des Cessna 152 pour m'exercer à piloter. Mon horaire de vol d'entraînement pour la journée consistait à faire des décrochages au décollage en altitude (manœuvres habituellement réalisées à 4.500 pieds).
J'ai décollé et quitté l'aéroport pour la zone d'entraînement. J'avais grimpé à 2.500 pieds et j'ai décidé que je ferais ralentir l'avion de 160 km/hr à environ 96 km/hr. Cette vitesse devait être la vitesse de rotation à utiliser lors d'un décrochage de décollage. Pour arriver à cette vitesse, je devais utiliser dix degrés de volets pour augmenter la traînée pour ralentir l'avion.
Pour les pilotes, ces exercices de décrochages de décollage servent de répétition générale au cas où cela se passe réellement. J'utilise le terme rotation assez librement dans ce récit; je crois que c'est un mot réservé strictement à la rotation qui se produit lorsque le pilote se déplace sur la piste pour le décollage. La rotation se produit lorsque le pilote atteint la vitesse de conception, ce qui permet à l'avion de surmonter la traînée et de décoller. Pour le Cessna 152 cette vitesse est de cinquante-quatre nœuds. Lorsque cette vitesse est atteinte, le pilote tire sur le manche et l'avion décolle.
La définition de décrochage au départ est quant au décollage l'avion quitte la piste et monte, l'angle d'attaque sur l'aile est si grand qu'il perd le flux d'air sur l'aile. Lorsque cela se produit, on dit de l'avion qu'il décroche. Tout simplement, si vous ne prenez pas des mesures correctives immédiates, vous êtes sur le point de tomber du ciel. La procédure de correction est de pousser le manche de l'avant, ce qui fait que le nez de l'avion pointe vers la terre. Si vous avez assez d'altitude pour récupérer, le flux d'air accru sur l'aile vous permettra de reprendre le contrôle de l'avion. Avec la bénédiction de Dieu, avec un peu de chance vous vivrez pour voler un autre jour.
Voilà pourquoi les pilotes pratiquent toujours des décrochages de départ à des altitudes qui ne présentent pas de danger. Comme je le disais, j'avais ralenti l'avion à la vitesse de rotation de 96 km/hr. Apres avoir atteint cette vitesse, j'ai tiré sur le manche pour renverser le flux d'air de l'aile provoquant une vibration immédiate de l'aile, puis le décrochage. Mais au lieu du décrochage prévu, l'avion a viré dur vers la droite, le nez vers le sol, tombant en vrille comme un tire-bouchon. Sans hésitation, j'ai eu recours à une contre-rotation, l'action corrective pour corriger cette rotation. Cependant, ma manœuvre n'a pas fonctionné et la terre s'est précipitée vers moi à cent vingt nœuds.
J'ai développé immédiatement le mal de tête le plus intense, centré sur mon front. La douleur et la pression étaient énormes, et à ce moment-là, la douleur a littéralement explosé et j'ai entendu les mots suivants: "Laisse-toi aller, tu n'as pas assez de temps pour réagir". En entendant ces mots, j'en ai conclu que mon subconscient m'informait que j'allais mourir. Pendant une nanoseconde, j'ai résisté à l'idée de lâcher les commandes. Plus je les ai lâchées et j'ai posé mes mains sur mes genoux et j'ai attendu l'impact.
En quelques microsecondes, j'avais laissé la terre, j'avais compris que pour la première fois vraiment, je m'en étais remis aux forces hors de mon contrôle. Le seul regret identifiable que j'avais en ce moment était pour le bien-être de l'avion. Je pensais: quelle honte d'endommager une telle machine merveilleuse.
Mes pensées allaient plus vite que la vitesse de la lumière et à cette vitesse incroyable, je savais avec certitude que ma vie était finie. Pendant que je regardais la terre se précipiter vers moi, je pouvais voir les oiseaux volant autour des cimes des arbres que j'étais sur le point de heurter. Pendant que je continuais à contempler ce drame, je notais un ralentissement dans la rotation de l'avion. Finalement, la vrille a fait place à un arc qui s'agrandissait lentement, et qui a abouti finalement à une géométrie linéaire.
Immédiatement après, l'avion est entré en vol rectiligne, de niveau, et il a commencé à grimper à une altitude de huit cent cinquante pieds. C'est à cette altitude que j'ai à nouveau placé mes mains et mes pieds sur les commandes. Après avoir repris le contrôle de l'avion, j'ai regardé autour de moi et j'ai réalisé pour la première fois ce qui avait causé la vrille. J'ai regardé entre les sièges et j'ai remarqué que j'avais encore dix degrés de volets sur l'aile. J'ai immédiatement corrigé cette erreur et repris le contrôle des surfaces opérationnelles de l'avion.
J'ai continué à pratiquer des décrochages pendant trente minutes de plus. M'en étant fatigué, j'ai décidé de retourner à l'aérodrome pour atterrir et sécuriser l'avion. En outre, la deuxième erreur avait été d'être à l'altitude dangereuse de 2.500 pieds au lieu des 4.500 pieds nécessaires.
Je suis entré dans le bureau de vol, j'ai parlé avec l'instructeur en chef de vol, et j'ai expliqué ce qui venait de se passer. L'instructeur en chef a fait remarquer que j'avais de la chance d'être en vie. Il a dit qu'en raison de la faible altitude de 2.500 pieds, j'avais de la chance que l'avion ait été en mesure de sortir de la vrille. L'Agence fédérale de l'aviation (FAA) exige que les pilotes soient à une altitude de 4.500 pieds avant de pratiquer des décrochages.
Pendant que je marchais vers ma voiture, j'ai remarqué que mes jambes tremblaient. J'ai ouvert la porte de la voiture et me suis glissé dans le siège du conducteur, puis j'ai tourné le contact pour la laisser se réchauffer avant de démarrer. Pendant que j'étais assis là, je me suis rendu compte que mes jambes étaient incroyablement faibles. Je m'inquiétais de ma capacité à conduire la voiture. Je me sentais alerte comme si j'avais pris de la caféine. Je me suis aperçu que je devais me détendre; peut-être quelques bières froides me calmeraient. Après environ dix minutes, je suis sorti du parking et me suis dirigé vers l'autoroute.
Je me suis arrêté dans une épicerie, et j'ai ramassé de la bière. J'ai conduit jusqu'à mon appartement à Fort Worth et garé ma voiture. Avec mon achat de bière fraîche à la main, je me suis dirigé vers ma résidence, j'ai ouvert la porte, je suis entré, et j'ai fermé la porte derrière moi. J'ai tout rangé sauf une bière, me suis dirigé vers le sofa, et me suis assis. J'ai ouvert la bière, l'ai renversée et j'ai bu goulument, puis j'ai avalé une autre gorgée et une autre encore. Ayant fini la première, je suis retourné au réfrigérateur pour une prendre autre bière fraîche et suis retourné au canapé.
Après plusieurs bières, je me suis senti plus calme, mais toujours très alerte. Mon esprit s'activait et réfléchissait aux événements survenus plus tôt dans la journée. Je commençais à examiner les événements sous un autre point de vue, disons une réflexion philosophique. Je considérais les événements du point de vue du contrôle - comment nous, les humains, menons notre vie en pensant que nous la contrôlons, alors qu'en un instant, notre contrôle s'évapore et rien que nous fassions ne nous donnera la certitude des actions que nous désirons.
Je pensais à la façon dont les gens admettent du bout des lèvres le mot "se rendre". Les personnes religieuses parlent toujours de s'en remettre à des amis, des voisins, ou la reddition ultime - à Dieu. Aucun homme ne peut se rendre jusqu'à ce que notre Créateur soit prêt à ce que nous abandonnions. Si un homme pense qu'il se rend, il se trompe parce que ce n'est pas la façon dont Dieu envisage cette reddition. Seul Dieu peut faciliter la reddition qui est nécessaire pour qu'une âme soit humble devant son Créateur.
Dans l'avion quand je n'avais aucun contrôle sur ma vie, j'ai été amené à me rendre par les circonstances du moment. A ce moment-là, je me suis rendu à l'idée de ma mort et à ce moment spécial, Dieu m'a accordé une nouvelle continuation de la vie. D'une certaine façon, j'ai eu le sentiment d'être mort, et d'avoir été ressuscité.
Jamais dans ma vie je n'ai été aussi alerte. Il a fallu trois jours pour me calmer suffisamment pour sombrer dans un sommeil réparateur.
Renseignements généraux:
Genre: Homme
La date à laquelle l'EMI est survenue: '1952, 1957, Mars1992'
Au moment de votre expérience, y avait-il un événement qui menaçait votre vie ? Oui Maladie, accident À l'âge de cinq ans, j'ai été très malade. À l'âge de 10 ans, j'ai eu un accident qui a mis ma vie en danger. À l'âge de 44 ans, j'ai eu une expérience qui a mis ma vie en danger.
Éléments de l'EMI:
Comment considérez-vous la teneur de votre expérience? Merveilleuse
L'expérience incluait: une expérience hors du corps
Vous êtes vous senti séparé de votre corps? Oui
J'ai clairement quitté mon corps et j'existai en dehors
Quel était votre degré de conscience et de lucidité durant cette expérience comparativement à celui que vous avez au quotidien en temps normal? Plus conscient(e) et lucide que d’habitude Pendant chacune des expériences. Vous ne pouvez pas entrer dans ce royaume sans être changé.
Durant votre expérience, à quel moment étiez-vous au maximum de votre conscience et lucidité? Pendant chacune des expériences. Vous ne pouvez pas entrer dans ce royaume sans être changé.
Est-ce que vos pensées allaient rapidement? Incroyablement vite
Est-ce que le temps vous a paru s'accélérer ou ralentir? Tout semblait se passer à la fois; ou le temps s'arrêtait ou perdait toute signification À l'âge de cinq ans vous ne disposez pas d'un sentiment puissant d'espace et de temps. Tout ce qui vous arrive est plus dans l'immédiat.
Est-ce que vos sens étaient plus vifs que d'habitude? Incroyablement plus vifs
Est-ce que votre vision était différente de ce qu’elle est en temps normal? Oui Normalement, nos sens sont filtrés et réduits pour accepter les fréquences de cette vie et quand nous la quittons, ils sont nettement accrus.
Est-ce que votre ouïe était différente de ce qu’elle est en temps normal? Non
Avez-vous eu l'impression d'être conscient de choses se déroulant ailleurs? Oui, et les faits ont été vérifiés
Êtes vous passé à travers un tunnel? Non
Avez-vous rencontré ou été conscient de la présence d'êtres décédés ou encore vivants? Oui Pendant que vous êtes dans la lumière, vous ne pouvez pas voir en général les autres personnes en raison de l'intensité de la lumière. Mais vous sentez la présence de personnes tout autour.
L'expérience incluait: une lumière surnaturelle
Avez-vous vu ou vous êtes-vous senti entouré par une lumière brillante? Non
Avez-vous vu une lumière qui ne vous semblait pas d'origine terrestre? Oui À l'âge de cinq ans, j'ai vu la lumière à distance et à dix ans, je suis entré dans la lumière pendant onze jours. À l'âge de quarante-quatre ans, je n'ai pas vu la lumière, mais j'ai entendu une voix très puissante me parler.
Avez-vous eu l'impression d'entrer dans un autre monde non terrestre? Un endroit clairement mystique ou un domaine surnaturel
Quelles émotions avez-vous ressenties durant l'expérience? Je me suis senti complet.
Avez-vous eu une sensation de paix ou de réconfort? Paix ou bien-être incroyable
Avez-vous eu un sentiment de joie? Une joie incroyable
Avez-vous eu l'impression d'être en harmonie ou d'être uni avec l'Univers? Je me sentais uni(e) au monde ou ne faisait qu'un avec le monde
L'expérience incluait: de la connaissance ou un but particuliers
Avez-vous eu l'impression de soudainement tout comprendre? Tout sur l'univers
Est-ce que des scènes de votre passé vous sont revenues? Mon passé est apparu en un clin d'oeil, hors de mon contrôle
Est-ce que des scènes de votre avenir vous sont apparues? Des scènes de l’avenir du monde
Avez-vous atteint une frontière ou une structure physique limite? Indécis(e)
Êtes-vous arrivé à une frontière ou à un point de non-retour? J'ai atteint une barrière que l'on ne me permettait pas de dépasser; ou j'étais renvoyé contre ma volonté
Dieu, Spiritualité et Religion:
Quelle était votre religion avant cette expérience? Indécis(e)
Est-ce que vos pratiques religieuses ont changé depuis cette expérience? Non
Quelle est votre religion maintenant? Libéral
Est-ce que vos valeurs et croyances ont changé à la suite de cette expérience? Non
Avez-vous eu l'impression de rencontrer un être mystique ou une présence, ou d'entendre une voix non identifiable? J'ai rencontré un être précis, ou une voix, clairement mystique ou d'origine non terrestre
Avez-vous rencontré des êtres durant votre expérience? Je les ai vus vraiment
Concernant nos vies terrestres en dehors de la religion:
Durant votre expérience, avez-vous acquis une connaissance ou de l'information à propos de vos objectifs de vie? Non Pas indispensable pour un enfant de cinq ans. Seuls les adultes veulent savoir! Les enfants ne veulent que s'amuser !!
Est-ce que vos relations ont changé précisément à cause de cette expérience? Oui Je suis plus attentif vis à vis de mes proches.
Après l'EMI:
Est-ce que l'expérience a été difficile à décrire en mots? Non
À la suite de votre expérience, avez-vous acquis des habiletés médiumniques, hors de l'ordinaire ou d'autres dons spéciaux que vous n'aviez pas avant? Non
Est-ce qu'il y a une ou plusieurs parties de l'expérience qui sont particulièrement significatives pour vous? Le plus important pour moi était de rejoindre la lumière de façon permanente.
Avez-vous déjà partagé cette expérience avec d'autres? Oui Un ou deux amis proches, et des membres de ma famille.
Aviez-vous quelque connaissance à propos des expériences de mort imminente (EMI) avant cette expérience? Non
Qu'avez-vous pensé du réalisme de l'expérience que vous avez-vécue peu de temps (jours ou semaines) après qu'elle soit survenue? L'expérience était définitivement réelle
Que pensez-vous du degré de réalisme de l'expérience maintenant? L'expérience était définitivement réelle
Est-ce qu'une partie de cette expérience a déjà été reproduite dans votre vie? Non
Y a-t-il quelque chose que vous aimeriez ajouter à propos de votre expérience? Pas maintenant.